Peu importe ben Ali et les trabelsi , le grand problème c'est son système de pourris qui est tjr en place et rien ne les obligeras a lâcher le morceau…
il en Arabie Saoudite, et si les saoudiens refusent de l'extrader ou font trainer, la justice ne peut rien faire.
c'est beaucoup plus compliqué que ta question ne le laisse supposer.
les imperialistes occidentaux ne le livreront jamais à la justice tunisienne.
Et comme l'Arabie Saoudite est sous la botte américaine et occidentale............
Ben Ali etait sous la coupe de cette p*** de Leila T. J'espère que les juges sauront se montrer magnanimes si un jour il y'a procès .
je prédis - sans gros risque - que vous allez drôlement le regretter ben ali.......................mais ça sera bien trop tard
ll est chez les avocats du diable : lls sont plus pourris que tous les autres responsables arabes réunis
il est dans un palais royal en Arabie saoudite et il a choisit un avocat libanais pour le défendre..mais mnin bech yebda !!
Il est planqué en Arabie c'est où dites.
http://www.wat.tv/video/ben-ali-en-arabie-saoudite...
Interpol va lancer des mandats d’amener contre 42 membres du clan Ben Ali
Mercredi, 01 Juin 2011 11:12
Interpol a accepté d’inscrire des mandats d’amener internationaux contre 42 personnes parmi les proches de Ben Ali sur sa liste rouge et de les communiquer à ses Etats membres.
Une délégation du ministère de la Justice s’est rendue, récemment, au siège de l’Organisation de la police criminelle internationale (Interpol) et a réussi à convaincre le bureau des affaires juridiques du caractère d’intérêt public des affaires intentées par la Tunisie contre Ben Ali et ses proches et de leur dénuement de tout fondement politique, a annoncé, mardi, Kadhem Zine El Abidine, représentant du ministère de la Justice.
Interpol, a-t-il expliqué, n’est pas habilité à statuer sur les affaires à caractère politique et racial, faisant remarquer que la police criminelle internationale a accepté d’inscrire des mandats d’amener internationaux contre 42 personnes sur sa liste rouge et de les communiquer aux Etats membres de l’Interpol, notamment le Canada où réside Belhassan Trabelsi, le frère de Leila Ben Ali, et le Qatar où se réfugie Sakher El Materi, gendre de Ben Ali.
L’étau se resserre donc autour de l’ex-dictateur et de sa famille. Il n’en reste pas moins que le parquet tunisien doit faire preuve de célérité et de rigueur dans l’instruction des dossiers judicaires des personnes concernées, car leur extradition et le rapatriement de leurs avoirs à l’étranger reste tributaires de la solidité de ces dossiers.
Ben Ali, est vraiment dans de sacrés beaux draps, à en croire le ministre de la justice. M. Lazhar Karoui-Chebbi, déclarait à la télévision nationale tunisienne que les procédures de gel des avoir et du rapatriement de Ben Ali s’accélèrent. Une délégation mixte, ministère de l’intérieur et justice, se rendra bientôt à Lyon, où siège la direction centrale d’Interpol pour activer l’extradition de Ben Ali et son clan. Des mandats pour le gel des avoirs des membres du clan Ben Ali-Trabelsi ont déjà été émis.
M. Lazhar Karoui- Chebbi, annonce que le dossier juridique pour l’extradition du président déchu, est fin prêt et que les autorités tunisiennes sont sur le point de lancer la procédure, soit directement avec l’Arabie saoudite, soit via les instances internationales. Concernant les autres membres du clan, le ministre a affirmé qu’Interpol a amorcé la poursuite et a pris les mesures nécessaires pour l’arrestation des mis en cause, et leur extradition.
Pour ceux qui sont accusés de corruption et de malversations, et qui sont déjà aux arrêts ou à la disposition de la justice, le ministre promet que les procès seraient publics et transparents.
Concernant les agents de l’ordre qui, lors des manifestations, ont fait usage de leurs armes à feu dans l’intention de donner la mort, et des éléments qui sont impliqué dans l’affaire des snipers, le ministre précise que rien que pour la localité de Kasserine, 300 témoins ont été entendu. Des mandats d’arrêt ont été émis à l’encontre de six éléments de la sureté nationale. Un ex-directeur général de la sureté et un officier supérieur figurent parmi les six mis en causes.
M Karoui-Chebbi, ajoute que son ministère a procédé à la suspension de six anciens juges, qui étaient à la solde de l’ancien régime, et que quatre éléments ont été écartés de leurs postes. Cette mesure dit-il, est prise afin d’assurer une vrai justice pour le citoyen et d’asseoir une réelle autorité judiciaire.
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Peu importe ben Ali et les trabelsi , le grand problème c'est son système de pourris qui est tjr en place et rien ne les obligeras a lâcher le morceau…
il en Arabie Saoudite, et si les saoudiens refusent de l'extrader ou font trainer, la justice ne peut rien faire.
c'est beaucoup plus compliqué que ta question ne le laisse supposer.
les imperialistes occidentaux ne le livreront jamais à la justice tunisienne.
Et comme l'Arabie Saoudite est sous la botte américaine et occidentale............
Ben Ali etait sous la coupe de cette p*** de Leila T. J'espère que les juges sauront se montrer magnanimes si un jour il y'a procès .
je prédis - sans gros risque - que vous allez drôlement le regretter ben ali.......................mais ça sera bien trop tard
ll est chez les avocats du diable : lls sont plus pourris que tous les autres responsables arabes réunis
il est dans un palais royal en Arabie saoudite et il a choisit un avocat libanais pour le défendre..mais mnin bech yebda !!
Il est planqué en Arabie c'est où dites.
http://www.wat.tv/video/ben-ali-en-arabie-saoudite...
Interpol va lancer des mandats d’amener contre 42 membres du clan Ben Ali
Mercredi, 01 Juin 2011 11:12
Interpol a accepté d’inscrire des mandats d’amener internationaux contre 42 personnes parmi les proches de Ben Ali sur sa liste rouge et de les communiquer à ses Etats membres.
Une délégation du ministère de la Justice s’est rendue, récemment, au siège de l’Organisation de la police criminelle internationale (Interpol) et a réussi à convaincre le bureau des affaires juridiques du caractère d’intérêt public des affaires intentées par la Tunisie contre Ben Ali et ses proches et de leur dénuement de tout fondement politique, a annoncé, mardi, Kadhem Zine El Abidine, représentant du ministère de la Justice.
Interpol, a-t-il expliqué, n’est pas habilité à statuer sur les affaires à caractère politique et racial, faisant remarquer que la police criminelle internationale a accepté d’inscrire des mandats d’amener internationaux contre 42 personnes sur sa liste rouge et de les communiquer aux Etats membres de l’Interpol, notamment le Canada où réside Belhassan Trabelsi, le frère de Leila Ben Ali, et le Qatar où se réfugie Sakher El Materi, gendre de Ben Ali.
L’étau se resserre donc autour de l’ex-dictateur et de sa famille. Il n’en reste pas moins que le parquet tunisien doit faire preuve de célérité et de rigueur dans l’instruction des dossiers judicaires des personnes concernées, car leur extradition et le rapatriement de leurs avoirs à l’étranger reste tributaires de la solidité de ces dossiers.
Ben Ali, est vraiment dans de sacrés beaux draps, à en croire le ministre de la justice. M. Lazhar Karoui-Chebbi, déclarait à la télévision nationale tunisienne que les procédures de gel des avoir et du rapatriement de Ben Ali s’accélèrent. Une délégation mixte, ministère de l’intérieur et justice, se rendra bientôt à Lyon, où siège la direction centrale d’Interpol pour activer l’extradition de Ben Ali et son clan. Des mandats pour le gel des avoirs des membres du clan Ben Ali-Trabelsi ont déjà été émis.
M. Lazhar Karoui- Chebbi, annonce que le dossier juridique pour l’extradition du président déchu, est fin prêt et que les autorités tunisiennes sont sur le point de lancer la procédure, soit directement avec l’Arabie saoudite, soit via les instances internationales. Concernant les autres membres du clan, le ministre a affirmé qu’Interpol a amorcé la poursuite et a pris les mesures nécessaires pour l’arrestation des mis en cause, et leur extradition.
Pour ceux qui sont accusés de corruption et de malversations, et qui sont déjà aux arrêts ou à la disposition de la justice, le ministre promet que les procès seraient publics et transparents.
Concernant les agents de l’ordre qui, lors des manifestations, ont fait usage de leurs armes à feu dans l’intention de donner la mort, et des éléments qui sont impliqué dans l’affaire des snipers, le ministre précise que rien que pour la localité de Kasserine, 300 témoins ont été entendu. Des mandats d’arrêt ont été émis à l’encontre de six éléments de la sureté nationale. Un ex-directeur général de la sureté et un officier supérieur figurent parmi les six mis en causes.
M Karoui-Chebbi, ajoute que son ministère a procédé à la suspension de six anciens juges, qui étaient à la solde de l’ancien régime, et que quatre éléments ont été écartés de leurs postes. Cette mesure dit-il, est prise afin d’assurer une vrai justice pour le citoyen et d’asseoir une réelle autorité judiciaire.