si vous ete un grand pays avec 1.5 MILIARD d habitant avec beaucoup de religion et de race ethnique penssez vous q un type comme sarkozy va le diriger
tous le monde profite des chinois tous le monde veut payer c truc moin chere mais il sont touse hypocryte
vous vouler faire une democrtie comme l irak ou timor orientale ou bien d autre pays ou il ya le bordel
les fracais parle des droit de l homme mais chez eux y a des gen qui n on pas de travail ni de logemant ni des soin ni rien du tous il sufi d etre d une autre race et c les probleme tous le monde te vois a travere
je respect tous les reponse mais soyer onette et polis
desoler por les faute
Copyright © 2024 1QUIZZ.COM - All rights reserved.
Answers & Comments
Verified answer
ben, il me semble que Sarko est à la heuteur de diriger la Chine !!!! lol (je parle de sa taille par rapport aux chinois)
alors déjà non ils ne sont pas d'une autre race car nous sommes tous de la race humaine, n'essaie pas montrer ta tolérance envers les autres si tu utilises le vocabulaire d'Hitler
deuxièmement, la fabrication d'objets pas chers ne donne pas le droit de massacrer un peuple, pacifiste qui plus est (les Tibétains)
entre le fait de ne pas avoir de logement et le fait de massacrer une population, il y a une marge.
Certes, je suis d'accord avec toi, la France n'est pas vraiment un modèle de droits de l'homme (bien qu'on les ai inventés comme dit l'Histoire), mais au moins nous faisons semblant d'être une démocratie, ce qui n'est pas la cas de la Chine (exécutions à répétition, mafia officielle, absence de justice et autres oppressions du style)
je m'acharne pas sur la chine je les méprise !
par contre je suis pro-Tibet et je refuse les massacres perpétrés par les communistes chinois ! c'est tout !
ah que voilà du grand nawak
visiblement tu manques sérieusement d'éducation géopolitique et historique..
personne dans le monde entier ne s'acharne sur la Chine.
C'est la Chine qui a envahie et occupé illégalement le Tibet, le Taklamakan et la Mongolie depuis 1950
C'est la Chine qui a commis un génocide physique en assassinant, torturant, violant 1,5 millions de Tibétains, en détruisant 6000 monastères, en pillant les ressources naturelles, en procédant à une déforestation telle que maintenant les pays tels que le Bangladesh et la Chine connaissent les pires inondations jamais vues (car les 5 grands fleuves de l'Asie prennent leur source au Tibet)
De plus la Chine s'était engagé à respecter les droits de l'homme avant de se voir octroyer les JO, hors non seulement elle ne les respecte pas mais elle emprisonne et torture toutes les personnes (chinoises, tibétaines, mongols, ouigours) qui critiquent son comportement.
Tu oublies que la Chine est une dictature féroce et que plus de 20 millions de chinois sont morts dans les camps de concentrations de Mao Tsé Toung !!!
Enfin bref, apprends donc un peu l'histoire avant de poser ce genre de questions provocatrices...
En ce qui concerne la France personne n'y est torturé pour délit d'opinion, personne n'y est envoyé en camp de concentration pour avoir sur lui la photo du Dalai-Lama..
Tout ce vacarme c'est une histoire de valeur.
Au-delà du fait que tout n'est pas forcément mieux chez nous je pense que nous nous devons quand même de faire savoir que nous ne sommes pas d'accord avec les manières de faire des dirigeants chinois. Ne rien dire à un moment crucial comme celui de l'organisation des JO risquerait d'avaliser la politique radicale du gouvernement chinois
Mais il serait dommage que tout retombe dans l'oubli d'ici 2009: il ne faut pas oublier que les atteintes au droit de l'homme en chine n'ont pas attendu les jeux pour exister, et qu'elle continueront bien après.. Si nos gouvernement Européen avait des "couilles", un boycott sans distinctions serait mis en place, hors on voit bien que ce n'est pas le cas.
Le problème est toujours le même, la raison financière l'emporte toujours sur la raison humanitaire: quel dommage!
A+
Le péril jaune? Et l'attitude historique de la Chine vis-à -vis du peuple tibétain.
On lutte aussi contre l'exploitation des chinois par le régime en place , et puis vos 1,5 milliard de gueux ne nous font pas peur si demain nous les citoyens du monde libre cessons d'acheter votre camelote , votre chine s'écroulera comme un château de cartes , et les émeutes feront rage chez vous . Si les droits de l'homme sont bafoués chez nous , ils y aura toujours des femmes et des hommes pour s'élever contre au péril de leur vie . Nous cachons souvent des clandestins dans nos maisons et on prend la défense des chinois chez nous plus que chez vous. Combien d'étrangers possèdent chez vous de commerce , industrie etc , waloo , personne . Allez au diable vous et votre chine surpeuplée, l'histoire nous a toujours montré que certes personne ne peut envahir votre territoire mais par contre la Chine s'est toujours détruite de l'intérieur .
Le taux de croissance annualisé de la Chine au premier semestre de l’année 2003 était de 8,2 % contre 8 % en 2002, et le taux d’inflation de – 0,4 % contre – 1,3 % en 2002 (1). Etant donné que les taux de croissance et d’inflation pour le premier semestre 2002 étaient inférieurs à leurs moyennes respectives de 9,4 % et 5,5 % pour la période 1979-2002, il semble que l’économie chinoise continue de tourner en dessous de sa capacité de production (2). Toutefois, d’autres signes montrent qu’une surchauffe de l’économie est à craindre dans un avenir proche. Les données qui viennent d’être publiées concernant le troisième trimestre de 2003 indiquent que la croissance du produit intérieur brut (PIB) a atteint 9,1 % et que le taux de croissance des investissements en capitaux fixes est resté supérieur à 30 %, confirmant ainsi la hausse des investissements amorcée au premier trimestre 2003. De l’avis de Jonathan Anderson, économiste de la Union Bank of Switzerland, la croissance des derniers mois a été sous-estimée et « le ‘véritable’ taux de croissance du PIB devrait dépasser 11 % en 2003 » (3). Dans ces conditions, on peut s’étonner que le taux d’inflation soit resté proche de zéro (4).
L’ambiguïté des signes macroéconomiques, et la confusion qu’ils provoquent parmi les hauts dirigeants chinois, transparaissaient clairement dans deux titres de journaux parus en août 2003. Le 18 août, un article du Straits Times de Singapour intitulé « Hausse du chômage : Hu appelle une plus forte création d’emplois », indiquait que le secrétaire général du Parti communiste chinois (PCC), Hu Jintao, avait demandé que soient prises « des mesures plus fortes » telles que « des dégrèvements et allègements fiscaux, des subventions et un plus grand accès aux prêts » afin de relancer la croissance économique. Le 19 août, sous le titre « Montée en flèche des investissements alors que les autorités hésitent à contenir la croissance », un article du South China Morning Post de Hong Kong expliquait que Ma Kai, le président de la Commission d’Etat pour le développement et la réforme (CEDR), avait « exhorté la nation à s’inquiéter d’une surchauffe [de l’économie] et dévoilé des mesures visant à réduire les prêts des banques d’Etat ».
En économie, pécher par excès de modération peut avoir de lourdes conséquences. L’objectif officiel de croissance fixé à 7 % en 2003 ne pourrait créer que 10 millions de nouveaux emplois dans les villes, alors que la Chine urbaine compte actuellement 24 millions de chômeurs (5). Par ailleurs, 150 des 500 millions de personnes qui constituent la force de travail rurale sont en réalité sans emploi — et il s’agit là de l’estimation la plus modérée (6). Le coût d’une surchauffe pourrait aussi s’avérer très élevé puisque, par le passé, une forte inflation s’est souvent traduite par une plus grande instabilité sociale. En outre, la surchauffe est souvent le signe d’un relâchement de l’Etat dans ses objectifs de restructuration économique, par le renflouage d’entreprises d’Etat inefficaces ou des investissements dans des secteurs souffrant déjà d’un excès de capacité.
Comme si les décideurs chinois n’étaient pas déjà suffisamment perturbés par les signaux déroutants d’une « surchauffe » et d’une « croissance inférieure à son potentiel », ils doivent maintenant faire face aux énormes pressions exercées par le Japon, l’Europe occidentale et les Etats-Unis pour que la monnaie chinoise, le yuan, soit réévaluée (7). L’actuelle vague de mécontentement international concernant la sous-évaluation de la monnaie chinoise a débuté le 1er décembre 2002, lorsque deux hauts fonctionnaires du ministère des Finances japonais ont écrit dans le Financial Times que « la Chine export[ait] la déflation […] par la croissance de ses exportations et par une combinaison de déflation des prix et d’indexation de sa monnaie sur le dollar », et ont demandé à la Chine de « laisser sa monnaie s’apprécier » (8). Dès la mi-2003, la Corée du Sud, l’Europe de l’Ouest et les Etats-Unis se sont joints au Japon pour demander une appréciation du yuan visant à réduire la « concurrence déloyale » provoquée par des produits chinois trop bon marché (9). Il ne fait aucun doute que la réponse de la Chine sera fonction de son analyse de la situation macroéconomique actuelle. Si les dirigeants chinois estiment que la déflation présente un plus grand risque pour la croissance économique du pays que la surchauffe, on peut alors s’attendre tout au plus à l’introduction d’une faible marge de fluctuation sur le taux de change actuel entre le yuan et le dollar américain.
Si l’on souhaite déterminer quelles seraient les politiques macroéconomique et de change les plus appropriées pour la Chine, il faut d’abord se demander si la Chine a atteint son niveau de croissance « naturel », c’est-à -dire si sa production a atteint le taux de croissance maximum et durable, compatible avec la stabilité des prix. En pratique, évaluer le taux de croissance naturel d’une économie est difficile ; en effet, celui-ci n’est pas figé puisque, par exemple, une variation du taux d’innovation technologique suffit à le modifier. A notre avis, deux éléments sont essentiels pour comprendre les récentes performances macroéconomiques de la Chine.
Le premier est que la croissance de l’offre globale a ralenti depuis 1997. Nous nous appuyons sur l’observation que chaque taux de croissance dans la sous-période 1997-2002 est inférieur à 9,4 %, le taux de croissance annuel moyen pour cette même période. Une telle durée de croissance inférieure à la moyenne est sans précédent depuis le début des réformes, ce qui semble suggérer que la phase de ralentissement de la croissance à la fin des années 1990 s’explique par le fait que la Chine a largement épuisé le potentiel de croissance qui avait été créé par la déréglementation et l’internationalisation de l’économie. Notre interprétation selon laquelle le ralentissement de la croissance s’explique par la maturation économique se fonde sur une conviction plus générale : la croissance impressionnante de la Chine depuis 1978 a été générée par la direction qu’a prise un pays jadis autarcique et aujourd’hui en voie de développement vers la modernité (10). Plus il se rapproche de la modernité, plus son taux de rattrapage en terme de croissance est bas. Cela semble cohérent avec le ralentissement du taux moyen de croissance qui est passé de 9,9 % pour la sous-période 1979-96 à 7,8 % pour la sous-période 1997-2003.
Le deuxième élément important pour comprendre les performances macroéconomiques chinoises est le fait que le taux d’inflation a fortement baissé entre les deux sous-périodes (d’une moyenne annuelle de 7,8 % pour 1979-1996 à – 1,4 % pour 1997-2000). Cela doit traduire un ralentissement de la croissance de la demande globale car, en l’absence d’un tel ralentissement, une baisse de la croissance de l’offre (que nous avons identifiée plus haut) aurait eu pour conséquence un phénomène de stagflation (c’est-à -dire une combinaison baisse de croissance/hausse de l’inflation) plutôt que l’effet observé, à savoir une combinaison baisse de croissance/déflation. Plus précisément, le phénomène baisse de croissance/déflation dans la sous-période 1997-2000 signifie que le ralentissement de la demande globale était plus marqué que celui de l’offre. Dans la section suivante, nous développerons l’argument selon lequel la défaillance du système bancaire chinois a provoqué une tendance déflationniste dans l’économie.
La déflation des prix est apparue pour l’indice des prix de détail (IPD) en octobre 1997 et pour l’indice des prix à la consommation (IPC) en février 1998 (voir tableau 1). Quand sont devenus évidents, mi-1998, les signes d’un véritable ralentissement économique, le gouvernement a commencé à mettre en Åuvre des mesures monétaires et budgétaires visant à accroître la demande globale. Le taux d’intérêt a été réduit à huit reprises en moins de six ans ; la dernière baisse qui date du 21 février 2001, fixait le taux annuel de rémunération des dépôts à 1,98 % et le taux d’intérêt des prêts à 2,34 %. Les dépenses de l’Etat ont fait un bond : le déficit budgétaire est passé de 1,1 % du PIB en 1998 à 1,9 % en 1999, puis à 2,5 % en 2000, à 2,7 % en 2001 et à 2,9 % en 2002 (11). La plupart des économistes du gouvernement chinois, comme Jia Kang (12), estiment par ailleurs que les investissements utilisant des fonds levés grâce à l’émission de bons du Trésor ont contribué pour 2 points de pourcentage à la croissance annuelle du PIB sur la période 1999-2002.
Variation de la production et de l’inflation en Chine (1979-2003)
Sources : China Statistical Yearbook, éditions 2001 et 2002.
Grâce aux encouragements de la Banque centrale, notamment dans le contexte de l’apparition du Syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) dans les premiers mois de 2003, les banques d’Etat ont considérablement développé leurs prêts, particulièrement au secteur de l’immobilier, et la croissance monétaire est passée de 16,8 % au quatrième trimestre de 2002 à 20 % au deuxième trimestre de 2003. La combinaison de nouvelles mesures budgétaires et monétaires pour compenser les effets désastreux du SRAS sur la demande globale a provoqué une hausse du taux d’investissement en capital fixe qui est passé de 21,6 % au quatrième trimestre de 2002 à plus de 30 % pour les trois premiers trimestres de 2003 (13). Comme l’ont montré Fan et Woo, encourager les investissements dans les entreprises d’Etat peut avoir de