L'islam, et sa charia, n'ont pas bonne presse. Et je hais cet aspect.
Par contre je leur reconnais d'être la seule religion à refuser le capitalisme qui privilégie le rentier au capitaliste.
L'islam est la seule religion à encore refuser le prêt à intérêt. Le catholicisme et le protestantisme l'acceptant depuis 1917.
Trouvé sur Wikipedia : En Islam, le prêt comme l'emprunt à intérêt sont clairement interdits, comme en atteste le verset 275 de la deuxième sourate du Coran : « Dieu a rendu licite le commerce et illicite l’intérêt ». L'interdit de la pratique de l'intérêt se retrouve encore au verset 39 de la Sourate Ar-Rum (Les Romains) : « Tout ce que vous donnerez à usure pour augmenter vos biens aux dépens des biens d'autrui ne les accroît pas auprès de Dieu, mais ce que vous donnez comme Zakat, tout en cherchant la face de Dieu (Sa satisfaction)… Ceux-là verront [leurs récompenses] multipliées. »
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Answers & Comments
moi je n'apprécie rien, je suis une femme
c'est tous escrocs et compagnie ; ils empruntent mais ne remboursent jamais
Sauf que leurs banques aux émirats et Arabie etc font crédit avec des intérêts comme partout dans le monde. Peu importe ce qu'il y a dans le coran,ils s'en foutent quand il s'agit de faire du fric.
Le prêt avec intérêt est interdit par le coran, c'est parfait il suffit de l'appeler autrement, c'est facile : tu veux une voiture? On l'achete à ta place t on te la révend un peu plus cher, voilà il n'y a pas d'intérêt...
IL FAUT ARRETER DE NOUS PRENDRE POUR DES CONS...
C'est faux ce que vous dite. Les intérêts sur les comptes en banque et les intérêts prélevés sur les emprunts sont légitimes s’ils ne sont pas excessifs (5 à 15%). Les banques investissent et leurs profits sont donnés aux dépositaires. Puisque toutes les parties sont satisfaites et que personne n’est lésé, il est parfaitement légitime de prendre les intérêts de la banque (voir Coran 2:275).
La finance islamique recouvre l’ensemble des transactions et produits financiers conformes aux principes de la Charia, qui supposent l’interdiction de l’intérêt, de l’incertitude, de la spéculation, l’interdiction d’investir dans des secteurs considérés comme illicites (alcool, tabac, paris sur les jeux, etc.), ainsi que le respect du principe de partage des pertes et des profits.
Du point de vue juridique, nous pouvons définir le ribâ comme étant tout avantage ou surplus qui sera perçu par l'un des contractants sans aucune contrepartie acceptable et légitime du point de vue du droit musulman, dans le cadre d’un prêt (ribâ dit al-nasî’a) ou d’une vente à terme des monnaies (le ribâ dit al-nass’a) ou d’un troc déséquilibré des produits alimentaires de même nature (riba dit al-fadl)
Bien qu’il existe plusieurs définitions et plusieurs formes du ribâ, il n’en demeure pas moins qu’une des plus répandues soit celle qui est relative au prêt avec intérêt, ce que les juristes musulmans appellent : al-nasî’a. Selon l’orientaliste français Jaques Austruy, l’interdiction du ribâ semble être l’une des conséquences de l’égalitarisme recherché dans la loi musulmane. Car d’après lui, cette interdiction, tout comme la prohibition canonique chrétienne, est fondée sur la double affirmation que le temps appartient à Dieu seul et ne peut être vendu, et que l’argent, en lui même, n’est pas productif. Du point de vue historique, les nombreuses philosophies anciennes ont souvent remis en cause l’usure et la logique de valorisation du capital au détriment du travail. Ainsi, les célèbres philosophes Platon et Aristote ont critiqué sévèrement l’usure en résumant leur pensée dans l’expression « un écu n’engendre pas »
Il convient de rappeler que les trois religions monothéistes à savoir le Judaïsme, le Christianisme et l’Islam, ont condamné l’usure et le taux d’intérêt.
La pratique de l’intérêt usuraire furent l’objet d’interdictions dans Évangiles du christianisme et dans la Bible hébraïque aussi quoique dans le judaïsme l’interdiction de l’usure est plus restreinte voire sélective selon l’expression d’André Martene qui souligne que « les juifs dans leur interdiction de l’usure furent plus sélectifs que les musulmans : le Tabrit (un mot hébreux désignant la pratique de l’usure) était interdit entre juifs mais pas entre juifs et non juifs ». L’ancien testament permet, en effet, aux créanciers juifs de pratiquer un taux usuraire lorsqu’il s’agit d’un prêt accordé aux étrangers de la communauté juive.
Il s’avère donc que l’originalité de la législation islamique en matière du ribâ réside essentiellement dans la globalité du principe d’interdiction et la sérieuse tentative de mettre en place des dispositifs alternatifs au crédit classique.
En islam, l’universalité du principe d’interdiction du ribâ n’est guère remise en cause et cela depuis l’émergence de la première expérience relative à la mudhâraba traditionnelle jusqu'à l’aboutissement à la dernière version de finance islamique qui s’incarne dans des banques «participatives» opérant sans ribâ aussi bien avec les collaborateurs musulmans que les non musulmans, substituant ainsi la pratique de l’usure par une certaine philosophie de solidarité entre les acteurs économiques.
Cet attachement aux sources vient du fait que la légitimité d’un principe n’est acceptable que si elle repose sur une des sources fondamentales de la Sharî‘a en effet, le Coran constitue avec la tradition du Propète (sunna), le consensus des ulémas (ijmâ‘) et le raisonnement par analogique (qiyâs), les quatre sources du droit musulman.
En fait, si je me souviens bien ce que m'a dit un ami musulman, il n'est pas interdit. Seulement les intérêts générés doivent être redistribués.
Alors là, vous vous mettez le doigt dans l'oeil jusqu'au coude !
Certes le prêt à intérêt est interdit, mais vous ne pensez quand même pas que les banques islamiques ne les font pas payer.
Bien sûr que si, et aussi cher que les autres, même si le montage est différent.
Le client qui désire faire l’acquisition d’un bien va voir sa banque et lui demande de l'acheter pour lui revendre ensuite avec une marge définie (le règlement étant effectué suivant un échéancier convenu entre les deux parties).
Comme hypocrisie, on ne fait pas mieux !
ah bon , les banques musulmanes vivent de quoi ?
A la bonheur ! Y a au moins un sur ce site qui a trouvé un truc positive dans l'islam , merci bien;