La fessée pas vraiment, mais mon père m'a souvent parlé d'instituteurs qui envoyaient de sacrés gifles et tiraient cheveux et oreilles. Comme dit Italique, les gamins ne mouftaient pas, car leurs parents trouvaient ça normal et ils étaient plutôt portés à doubler la punition qu'à mettre en cause l'enseignant.
Je ne pense pas que les coups aient une quelconque valeur éducative, mais je constate qu'aujourd'hui, un père (gendarme qui plus est !) peut venir frapper un prof dans sa classe, quand ce n'est pas un lycéen qui le boxe ! Il y a quand même matière à réfléchir.
La fessée à l'école a t elle existé ? oui.. bien sur, j'ai connu ça. Moi je n'en ai pas pris, mais certains autres enfants oui. Et même, pas si vieux que ça puisque l'instite en question est toujours vivant, des coups de règles sur les doigts, et des gamins à genoux sur des manches à balai ..!
Dans les campagnes leurs parents avaient subit ça, donc que leurs enfants le subissent ne posait pas de problème, même il y a 20/25 ans...
Mon mari se rappelait lui d'un directeur d'école, qui faisait mettre en ligne les élèves turbulents et leur balançait une gifle ! mais à l'époque, les enfants n'allaient pas se plaindre à leurs parents, parce qu' ils étaient quasi assurés de s'en ramasser une autre par le père, du fait qu'ils avaient fait des bêtises. hé. la cohérence, c'est ça !
Bien que je ne sois pas pour les coups, le problème aujourd'hui est que les parents " consomment " de l'école, s"opposent , emmerdent les enseignants, exigent ! et ne voient pas l'unité qu'il faudrait qu'ils aient avec les enseignants, pour donner corps à une cohérence, tant au niveau de l'apprentissage des savoirs, que de l'apprentissage à se comporter en société.
Je serais pour balancer des torgnioles à certains parents.. ça leur remettraient les idées en place. Et leurs chiards scrofuleux auraient sans doute moins de problèmes, si eux même montraient un exemple de respect du savoir et des autres et des enseignants en priorité.
Oui et autrefois l'autorité des enseignants n'était pas remis en question , si par malheur l'enfant trouver à y redire il se prenait une racler par ses propre parents .
de mon temps c'était déjà plus raffiné: au coin, sur les genoux, avec une règle posée sur la tranche sous les genoux, le Larousse dans la main gauche et le petit Robert dans la main droite.
c'était le bon vieux temps mais les traditions se perdent.
Answers & Comments
En tout cas, cela aurait du être le cas pendant tes cours de Français..
La fessée pas vraiment, mais mon père m'a souvent parlé d'instituteurs qui envoyaient de sacrés gifles et tiraient cheveux et oreilles. Comme dit Italique, les gamins ne mouftaient pas, car leurs parents trouvaient ça normal et ils étaient plutôt portés à doubler la punition qu'à mettre en cause l'enseignant.
Je ne pense pas que les coups aient une quelconque valeur éducative, mais je constate qu'aujourd'hui, un père (gendarme qui plus est !) peut venir frapper un prof dans sa classe, quand ce n'est pas un lycéen qui le boxe ! Il y a quand même matière à réfléchir.
La fessée à l'école a t elle existé ? oui.. bien sur, j'ai connu ça. Moi je n'en ai pas pris, mais certains autres enfants oui. Et même, pas si vieux que ça puisque l'instite en question est toujours vivant, des coups de règles sur les doigts, et des gamins à genoux sur des manches à balai ..!
Dans les campagnes leurs parents avaient subit ça, donc que leurs enfants le subissent ne posait pas de problème, même il y a 20/25 ans...
Mon mari se rappelait lui d'un directeur d'école, qui faisait mettre en ligne les élèves turbulents et leur balançait une gifle ! mais à l'époque, les enfants n'allaient pas se plaindre à leurs parents, parce qu' ils étaient quasi assurés de s'en ramasser une autre par le père, du fait qu'ils avaient fait des bêtises. hé. la cohérence, c'est ça !
Bien que je ne sois pas pour les coups, le problème aujourd'hui est que les parents " consomment " de l'école, s"opposent , emmerdent les enseignants, exigent ! et ne voient pas l'unité qu'il faudrait qu'ils aient avec les enseignants, pour donner corps à une cohérence, tant au niveau de l'apprentissage des savoirs, que de l'apprentissage à se comporter en société.
Je serais pour balancer des torgnioles à certains parents.. ça leur remettraient les idées en place. Et leurs chiards scrofuleux auraient sans doute moins de problèmes, si eux même montraient un exemple de respect du savoir et des autres et des enseignants en priorité.
Oui et autrefois l'autorité des enseignants n'était pas remis en question , si par malheur l'enfant trouver à y redire il se prenait une racler par ses propre parents .
Oui, et la peur de la fessée conduisait les élèves à écrire correctement le Français... par exemple...
Oui.
http://iletaitunefoislecole.fr/Les-punitions.html
de mon temps c'était déjà plus raffiné: au coin, sur les genoux, avec une règle posée sur la tranche sous les genoux, le Larousse dans la main gauche et le petit Robert dans la main droite.
c'était le bon vieux temps mais les traditions se perdent.
elle serait bienvenue aujourd'hui, dans nos quartiers en délicatesse avec l'école!
blasco
oui
Oui, et toi tu l'aurais méritée !