" Je m'épanouis de plaisir corporel en me nourrissant de pain et d'eau et je méprise les plaisirs ,non pour eux-mêmes mais à cause des ennuis qui les suivent ."
"Qu’est-ce que la santé ? Comment l’aborder de façon positive et ne pas se contenter de découvrir les atteintes qu’elle est susceptible de subir lors de l’accomplissement de l’activité de travail ? Comment la défendre et, au-delà, la construire dans le monde du travail ? Pour l’auteur, rien n’est plus important que de sortir d’une tradition qui la saisit en tant qu’état, que celui-ci soit caractérisé par l’équilibre, l’adaptation, l’harmonie, le silence ou encore le bien-être physique, mental et social (OMS). Il propose ici les concepts de normativité (Canguilhem), de grande santé (Nietzsche) et de persévérance en son être (Spinoza). Des concepts qui ont en commun le fait de l’aborder en tant que processus et de la situer du côté de la puissance d’agir. Des concepts qui, selon lui, s’inscrivent dans une ligne de pensée susceptible de constituer l’ancrage théorique et l’axe axiologique dont les recherches-interventions soucieuses de s’appuyer sur le rôle actif des salariés, leur parole et la coanalyse de leur travail ont besoin. Dans la dernière partie de son article, l’auteur s’emploie à dégager la portée pratique d’une telle définition. Il prend soin aussi de préciser en quoi les interventions-recherches qu’elle permet d’étayer et de promouvoir dans les entreprises et les institutions s’opposent à la problématique récente de « la prévention des risques psychosociaux ».",,,,,,,
Ils ont dit tout naturellement L'homme est une triade corps esprit et conscience il est bon que le tout soit en équilibre... car ils avaient tout peur de la timinette pour avoir dit quelque chose autre...
je ne veux que remarquer que Socrate était connu pour négliger son hygiène... que Diogène était un peu cynique aussi... et que le christianisme était d'opinion qu'une culture corporelle n'était pas une attitude pieuse...
mais moi a plus peur de la conne-moralistique que des timinettes engueulantes ;)
car il existe un corps physique mais aussi un corps émotionnel et un corps mental,
et c'est quand on développe toutes les possibilités inhérentes à chacun qu'on s'élève sur le chemin de la patience qui est l'échelle des philosophes ...
certaines écoles prétendent qu'il faut se détacher de ces corps qui nous retiennent prisonniers comme il est dit que la forme retient l'énergie,
on entend ainsi, ici et là qu'il faut jeter le mental par la fenêtre pour pouvoir prendre les rênes, que le désir est la cause du mal, que la chair est faible...
de tout temps pourtant les philosophes ont tenté l'oeuvre au noir pour purifier le corps physique, l'oeuvre au rouge pour s'affranchir des passions et l'oeuvre au blanc pour illuminer le mental, en dépit de tous ceux qui les ont jetés aux lions, brûlés pour sorcellerie ou forcés à mourir à la guerre, que sais-je encore ...
le but de l'expérience humaine étant la maîtrise de l'énergie, et la maîtrise de l'énergie s'exerçant par la pensée et le sentiment, comment voulez-vous parvenir à ces fins si vous n'avez pas les corps adéquats pour faire les expériences nécessaires à cet accomplissement?...
Answers & Comments
" Je m'épanouis de plaisir corporel en me nourrissant de pain et d'eau et je méprise les plaisirs ,non pour eux-mêmes mais à cause des ennuis qui les suivent ."
"Qu’est-ce que la santé ? Comment l’aborder de façon positive et ne pas se contenter de découvrir les atteintes qu’elle est susceptible de subir lors de l’accomplissement de l’activité de travail ? Comment la défendre et, au-delà, la construire dans le monde du travail ? Pour l’auteur, rien n’est plus important que de sortir d’une tradition qui la saisit en tant qu’état, que celui-ci soit caractérisé par l’équilibre, l’adaptation, l’harmonie, le silence ou encore le bien-être physique, mental et social (OMS). Il propose ici les concepts de normativité (Canguilhem), de grande santé (Nietzsche) et de persévérance en son être (Spinoza). Des concepts qui ont en commun le fait de l’aborder en tant que processus et de la situer du côté de la puissance d’agir. Des concepts qui, selon lui, s’inscrivent dans une ligne de pensée susceptible de constituer l’ancrage théorique et l’axe axiologique dont les recherches-interventions soucieuses de s’appuyer sur le rôle actif des salariés, leur parole et la coanalyse de leur travail ont besoin. Dans la dernière partie de son article, l’auteur s’emploie à dégager la portée pratique d’une telle définition. Il prend soin aussi de préciser en quoi les interventions-recherches qu’elle permet d’étayer et de promouvoir dans les entreprises et les institutions s’opposent à la problématique récente de « la prévention des risques psychosociaux ».",,,,,,,
Encore un qui ne s'est pas rendu compte que tous les philosophes ne pensent pas les mêmes choses.
Cette question tout à fait secondaire pour un pythagoricien peut devenir primordiale pour un épicurien.
Ils ont dit tout naturellement L'homme est une triade corps esprit et conscience il est bon que le tout soit en équilibre
A part les antiques, très peu de choses. Platon a dû écrire là-dessus, vu qu'il était champion de lutte...
un esprit sain dans un corps sain
Ils ont dit tout naturellement L'homme est une triade corps esprit et conscience il est bon que le tout soit en équilibre... car ils avaient tout peur de la timinette pour avoir dit quelque chose autre...
je ne veux que remarquer que Socrate était connu pour négliger son hygiène... que Diogène était un peu cynique aussi... et que le christianisme était d'opinion qu'une culture corporelle n'était pas une attitude pieuse...
mais moi a plus peur de la conne-moralistique que des timinettes engueulantes ;)
bonne journée
le corps est un temple,
ou plutôt les corps sont des temples,
car il existe un corps physique mais aussi un corps émotionnel et un corps mental,
et c'est quand on développe toutes les possibilités inhérentes à chacun qu'on s'élève sur le chemin de la patience qui est l'échelle des philosophes ...
certaines écoles prétendent qu'il faut se détacher de ces corps qui nous retiennent prisonniers comme il est dit que la forme retient l'énergie,
on entend ainsi, ici et là qu'il faut jeter le mental par la fenêtre pour pouvoir prendre les rênes, que le désir est la cause du mal, que la chair est faible...
de tout temps pourtant les philosophes ont tenté l'oeuvre au noir pour purifier le corps physique, l'oeuvre au rouge pour s'affranchir des passions et l'oeuvre au blanc pour illuminer le mental, en dépit de tous ceux qui les ont jetés aux lions, brûlés pour sorcellerie ou forcés à mourir à la guerre, que sais-je encore ...
le but de l'expérience humaine étant la maîtrise de l'énergie, et la maîtrise de l'énergie s'exerçant par la pensée et le sentiment, comment voulez-vous parvenir à ces fins si vous n'avez pas les corps adéquats pour faire les expériences nécessaires à cet accomplissement?...
harmonie pouvoir !
un peu
Apprendre à s'exprimer également .