La banque d'affaires Goldman Sachs avait prévu la baisse depuis longtemps, en expliquant que l'exploitation du pétrole de schiste américain et celle du pétrole des sables bitumineux canadien allaient révolutionner le cours du pétrole et l'entraîner à la baisse, puisque U.S.A. et Canada non seulement ne seraient plus les 1ers importateurs mondiaux, mais même deviendraient exportateurs nets.

Mais c'est bien la seule banque qui ne se soit pas plantée à ma connaissance.

Elle a même annoncé un baril à 20$ pour 2016. Nous verrons si elle avait (entièrement) raison.

Le seuil des 20$ n'est pas impossible à atteindre si l'Iran commence à exporter massivement dès 2016.

Les catégories que vous citez passent leur temps à se tromper, ce qui ne les empêche pas de continuer à s'exprimer de façon péremptoire !

*Le prix du baril de Brent est actuellement de 40 $ (il était à 133 $ en juillet 2008)

Des nuls

Aucun. Quelques mois avant sa mort, Christophe de Margerie, le PDG de Total parlait d'une hausse vertigineuse