C'est sans doute trop vrai pour ne pas paraître un peu simpliste a des coupeurs de cheveux en quatre.... un peu gênés par un a priori plutôt négatif a l'égard de la passion, qui reste avant tout dans sa version positive une volonté et une attention suractivée par la motivation et l'intensité (affective...
C'est ainsi que l'on voit de plus en plus de personnes le plus souvent considérées comme des intellectuels, délaisser une carrière enviable et haut placée, pour faire boulanger, sculpteur ou même berger... tellement heureux de s'épanouir dans ce qu'il considère à présent comme leur vrai nature... celle qui conduit à la joie intérieure...
Pourquoi pas ? .. puisque la propre définition du bonheur correspond à un besoin bien réel chez l' Homme et si fugace soit-il, le prendre à bras le corps fait un bien fou ♫
Bof,,,, "Mais surtout, il faut se débarrasser de la vision d’un bonheur comme paix de l’âme. Le bonheur, chez Nietzsche prend acte de l’ambivalence de la vie, il est réconciliation avec le malheur. Nietzsche n’apprend pas à éviter le malheur, à se détacher des choses du monde pour s’insensibiliser ou accueillir le malheur avec « sagesse ».",,,,
Oui, il y a un peu de vrai. Le bonheur est-il plutôt dans le chemin qui mène à sa passion et non dans la passion. Lorsque nous sommes passionnés, nous avons un objectif dans la vie et cela nous empêche de trop penser à ce qui ne va pas.
Pour savoir ce que l'on veut, est on sensé aussi connaître l'État du bonheur ? Chercher le bonheur n'est ce pas courir après ses propres illusions ? Puis " ce qui veut " ... Est-il conscient de ce qu'implique une telle recherche ? Conscient de l'État d'insatisfaction qui réclame à être transformé en état de satisfaction ?
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Quand on n'a besoin que de peu de chose, un rien suffit, et quand un rien suffit, on n'a pas besoin de grand-chose.
Voila c'est cela le bonheur !
C'est sans doute trop vrai pour ne pas paraître un peu simpliste a des coupeurs de cheveux en quatre.... un peu gênés par un a priori plutôt négatif a l'égard de la passion, qui reste avant tout dans sa version positive une volonté et une attention suractivée par la motivation et l'intensité (affective...
C'est ainsi que l'on voit de plus en plus de personnes le plus souvent considérées comme des intellectuels, délaisser une carrière enviable et haut placée, pour faire boulanger, sculpteur ou même berger... tellement heureux de s'épanouir dans ce qu'il considère à présent comme leur vrai nature... celle qui conduit à la joie intérieure...
Entre vouloir et pouvoir ,il y a une sacré marche .
F L K
.
exact
Pourquoi pas ? .. puisque la propre définition du bonheur correspond à un besoin bien réel chez l' Homme et si fugace soit-il, le prendre à bras le corps fait un bien fou ♫
Et de qui est cette belle chose ?
Qui peut dire je suis heureux et faites donc comme moi?
Bof,,,, "Mais surtout, il faut se débarrasser de la vision d’un bonheur comme paix de l’âme. Le bonheur, chez Nietzsche prend acte de l’ambivalence de la vie, il est réconciliation avec le malheur. Nietzsche n’apprend pas à éviter le malheur, à se détacher des choses du monde pour s’insensibiliser ou accueillir le malheur avec « sagesse ».",,,,
Oui, il y a un peu de vrai. Le bonheur est-il plutôt dans le chemin qui mène à sa passion et non dans la passion. Lorsque nous sommes passionnés, nous avons un objectif dans la vie et cela nous empêche de trop penser à ce qui ne va pas.
Une passion ou une carotte .
Pour savoir ce que l'on veut, est on sensé aussi connaître l'État du bonheur ? Chercher le bonheur n'est ce pas courir après ses propres illusions ? Puis " ce qui veut " ... Est-il conscient de ce qu'implique une telle recherche ? Conscient de l'État d'insatisfaction qui réclame à être transformé en état de satisfaction ?