Non. Je prends ce que je connais dans le domaine de l'archivage par exemple des dossiers médicaux de sanatorium qui seraient intéressants pour la recherche historique mais classés confidentiels 120 ans!
c'est pourquoi l'index catholique était tellement large alors.....
l'homme peut faire des choses ce que l'autre n'aime pas... néansmoins ça ne veut pas dire qu'il fait des choses contre la loi, car la loi ne servent pas un intérêt particulier... alors c'est pourquoi la loi devrait supporter une vie privée, ça évite bcp de problèmes sociales et ça permet à l'individu de se développer, d'aller à la recherche à lui-même... il est important que l'individu peut trouver un équilibre psychologique, sinon les frustrations causeraient bcp de turbulences sociales aussi... c'est alors pas une question de faire le bien absolu, c'est une question de trouver un équilibre ainsi qu'on arrive à atteindre le plus grand bien possible...
mais ça reste une chose incompréhensible pour ceux qui souffre à la conne-moralistique... ;)))
S'agit-il d'un secret intentionnel (Je veux dire volontairement entretenu)? En ce cas quelle en est l'intention?
Par définition celle-ci reste secrète puisqu'elle motive aussi le secret...
Donc on ne peut présumer de la culpabilité du secret tant que celui-ci n'est pas dévoilé ainsi que l'intention qui l'a motivé. Mais on ne peut pas non plus affirmer que l'intention n'est pas coupable... Du coup le secret est toujours coupable de la suspicion qu'il engendre logiquement (qu'il s'agisse d'une suspicion d'innocence ou de culpabilité) jusqu'à sa levée.
Quand il s'agit d'un secret individuel, la suspicion n'engendre pas trop de dégâts, par contre dès qu'il s'agit d'un secret collectif, la suspicion s'accroît et les conséquences deviennent plus lourdes, puisqu'elles fragmentent un peu plus le collectif au lieu de le réunir et qu'elles entraînent une perte de consentement volontaire qui pourrait être fort utile à la cohésion de tout l'ensemble.
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Il est des secrets si magnifiques, que l'on veut les garder dans leur écrins.
D'autres qui sont tragiques ou honteux, mais qui n'apportent pas pour autant une culpabilité. Tout au plus une gène de l'ordre morale.
Si nous devions tout savoir de tout le monde, nous serions télépathes...et nous saurions comment appréhender la réalité de l'autre sans problème.
Mais ça n'est pas ainsi, alors tout n'est pas à dévoiler sans pour autant que ce soit coupable de quoique ce soit :)
Bien sûr que non mon jardin secret n'est coupable de rien et d'ailleurs n'intéresse personne .
Mais j'ai bien compris que nous ne sommes coupable que du mal intentionnel ce que Kant appelait malignité diabolique ..
Bien sûr que non.
Ma chérie et moi on se fait en secret des choses super taboues. Mais tu t'imagines pas qu'on se sente coupable ?!?
Est légitimement secret tout ce qu'on n'a pas à dévoiler à ceux qui n'ont aucun droit de le savoir. Et presque toute la vie privée en fait partie.
Non. Je prends ce que je connais dans le domaine de l'archivage par exemple des dossiers médicaux de sanatorium qui seraient intéressants pour la recherche historique mais classés confidentiels 120 ans!
c'est pourquoi l'index catholique était tellement large alors.....
l'homme peut faire des choses ce que l'autre n'aime pas... néansmoins ça ne veut pas dire qu'il fait des choses contre la loi, car la loi ne servent pas un intérêt particulier... alors c'est pourquoi la loi devrait supporter une vie privée, ça évite bcp de problèmes sociales et ça permet à l'individu de se développer, d'aller à la recherche à lui-même... il est important que l'individu peut trouver un équilibre psychologique, sinon les frustrations causeraient bcp de turbulences sociales aussi... c'est alors pas une question de faire le bien absolu, c'est une question de trouver un équilibre ainsi qu'on arrive à atteindre le plus grand bien possible...
mais ça reste une chose incompréhensible pour ceux qui souffre à la conne-moralistique... ;)))
bonne journée
L'adjoint en chef du vice sous secrétaire a divulgue le nom du chef en chef .
Tout dépend de la nature du secret.
S'agit-il d'un secret intentionnel (Je veux dire volontairement entretenu)? En ce cas quelle en est l'intention?
Par définition celle-ci reste secrète puisqu'elle motive aussi le secret...
Donc on ne peut présumer de la culpabilité du secret tant que celui-ci n'est pas dévoilé ainsi que l'intention qui l'a motivé. Mais on ne peut pas non plus affirmer que l'intention n'est pas coupable... Du coup le secret est toujours coupable de la suspicion qu'il engendre logiquement (qu'il s'agisse d'une suspicion d'innocence ou de culpabilité) jusqu'à sa levée.
Quand il s'agit d'un secret individuel, la suspicion n'engendre pas trop de dégâts, par contre dès qu'il s'agit d'un secret collectif, la suspicion s'accroît et les conséquences deviennent plus lourdes, puisqu'elles fragmentent un peu plus le collectif au lieu de le réunir et qu'elles entraînent une perte de consentement volontaire qui pourrait être fort utile à la cohésion de tout l'ensemble.
Non, bien évidemment. Cependant,certains ''secrets de famille'' l'étaient, tel que l'inceste. et qui, malheureusement, perdure.
non