Vous illustrez ici le ''moi'' se reflétant dans un miroir, où l'image est inversée, de sorte que ''les autres'' n'est en fait que ''l'autre'', dès lors que que ce borgne, qu'est l'être humain, considère que l’œil valide de son vis à vis est contraire au sien.
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Vous illustrez ici le ''moi'' se reflétant dans un miroir, où l'image est inversée, de sorte que ''les autres'' n'est en fait que ''l'autre'', dès lors que que ce borgne, qu'est l'être humain, considère que l’œil valide de son vis à vis est contraire au sien.
Je me le demande , ne risque-t-il de se rentrer dedans ?
Pardon ?
Les autres n étant que l'image inversée imprimée par l œil sur la rétine alors là, ils seront sûrement l envers ...du decor...^^
Si c'est la question du Bac-philo de l'année prochaine, j'ai le temps de trouver la bonne réponse.
"Je est un autre"?
"l'enfer c'est les autres" disait l'homme seul au monde sur son île, ou peut-être pas, en fait il disait "le paradis c'est les autres".
L'univers n'a pas de centre, mais chacun est le centre de son univers
où les autres sont des figurants. Paradoxe, quand tu nous tiens !
de cote
le moi est haïssable, l'enfer c'est les autres, et "famille, je vous hais", comme disait Henry Gide.