Oh, même sur terre ou dans les airs, je me sens mortel aussi.
Qu'il n'est pas besoin de fréquenter l'océan pour se savoir mortel,tout au plus l'océan nous fait davantage saisir nos "limites";
Qu'en dehors de son élément, l'homme ne se sent plus en sécurité. Que face à l'immensité et à sa vulnérabilité, il ressent sa petitesse.
Mais sur l'océan, on peut aussi se sentir libre et pourquoi pas immense et éternel.
dans le désert aussi !
J'aime pas l'eau ... alors l'océan .... c'est la mort pour moi !
...surtout que j'ai failli me noyer un jour; tout bon nageur que je suis...
le voyage vers soi-même....ou C.G.Jung insiste pour retrouver chacun de nous sa place dans ce monde !!!!! voici un lien ci dessous qui decrit cet experience ......
bien a toi et a toutes/tous! bonne continuation!!!
*************************
Le voyage spirituel qui a bouleversé ma vie
I
ls ont pris la route, parfois sans savoir pourquoi. Et puis ils ont expérimenté « quelque chose », une certitude, une émotion, un apaisement. Quatre voyageurs racontent ce chemin initiatique, qui a changé leur rapport au monde et à la vie.
Valérie Péronnet
«J’avais besoin de retrouver une place dans le monde »
Manon, 29 ans, sur les chemins de Saint- Jacques-de-Compostelle
« Je n’ai jamais cru en Dieu. Mais ça ne m’a pas empêchée, en avril 2003, de partir sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. J’avais passé trois ans à préparer des concours d’entrée aux grandes écoles. J’étais cassée, épuisée, perdue, plus rien n’avait de sens. J’ai décidé de me mettre en route pour me réparer. J’avais besoin de retrouver mon corps : marcher, manger, dormir. J’avais besoin de retrouver une place dans le monde : arpenter les montagnes, les forêts, pour me reconnecter avec la terre. Kilomètre après kilomètre, j’ai marché sur cette route qui garde en mémoire toutes les prières et les espérances des pèlerins qui l’ont parcourue. Dans le silence et la solitude, les forces telluriques me parlaient, et m’aidaient à avancer. Un soir, à Sahagún, en Espagne, assise à une terrasse, j’ai senti la paix se poser sur moi comme un oiseau. Une force incroyable, qui ne m’a plus jamais quittée. Je suis allée jusqu’à Saint-Jacques, et puis je suis rentrée. J’ai repris ma vie. J’étais réparée. Je suis repartie à Compostelle trois ans plus tard, pour le plaisir, parce que sur la route tous les oripeaux sociaux se dissipent, et que je voulais sentir à nouveau cette paix et cette foi en la vie passer dans mon corps par mes pieds, par la poussière, par le chemin. J’étais en route depuis un mois quand j’ai rencontré un homme dont c’était le premier jour de marche. Nous avons cheminé ensemble, de loin en loin, et puis nous ne nous sommes plus quittés. Depuis, je suis toujours sur le chemin, les pieds sur terre, et la paix en moi.
Je sais que je suis reliée à “autre chose”… »
http://www.psychologies.com/Culture/Philosophie-et...
.
C 'est l'homme qui prend la mer ...â«1â¦â«â«â«âªâª
Mais , c'est la mer qui prend l' homme ...â«â«1â¦â«â«âªâª
â¦
Peu importe la facon de mourir, notre ame est immortelle, ce qui "meurt ou se noie" c'est notre corps physique.
Oui, en regardant un ciel étoilé aussi .
Van Gogh a très bien perçu et rendu ce sentiment d'infini.
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Oh, même sur terre ou dans les airs, je me sens mortel aussi.
Qu'il n'est pas besoin de fréquenter l'océan pour se savoir mortel,tout au plus l'océan nous fait davantage saisir nos "limites";
Qu'en dehors de son élément, l'homme ne se sent plus en sécurité. Que face à l'immensité et à sa vulnérabilité, il ressent sa petitesse.
Mais sur l'océan, on peut aussi se sentir libre et pourquoi pas immense et éternel.
dans le désert aussi !
J'aime pas l'eau ... alors l'océan .... c'est la mort pour moi !
...surtout que j'ai failli me noyer un jour; tout bon nageur que je suis...
le voyage vers soi-même....ou C.G.Jung insiste pour retrouver chacun de nous sa place dans ce monde !!!!! voici un lien ci dessous qui decrit cet experience ......
bien a toi et a toutes/tous! bonne continuation!!!
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Le voyage spirituel qui a bouleversé ma vie
I
ls ont pris la route, parfois sans savoir pourquoi. Et puis ils ont expérimenté « quelque chose », une certitude, une émotion, un apaisement. Quatre voyageurs racontent ce chemin initiatique, qui a changé leur rapport au monde et à la vie.
Valérie Péronnet
«J’avais besoin de retrouver une place dans le monde »
Manon, 29 ans, sur les chemins de Saint- Jacques-de-Compostelle
« Je n’ai jamais cru en Dieu. Mais ça ne m’a pas empêchée, en avril 2003, de partir sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. J’avais passé trois ans à préparer des concours d’entrée aux grandes écoles. J’étais cassée, épuisée, perdue, plus rien n’avait de sens. J’ai décidé de me mettre en route pour me réparer. J’avais besoin de retrouver mon corps : marcher, manger, dormir. J’avais besoin de retrouver une place dans le monde : arpenter les montagnes, les forêts, pour me reconnecter avec la terre. Kilomètre après kilomètre, j’ai marché sur cette route qui garde en mémoire toutes les prières et les espérances des pèlerins qui l’ont parcourue. Dans le silence et la solitude, les forces telluriques me parlaient, et m’aidaient à avancer. Un soir, à Sahagún, en Espagne, assise à une terrasse, j’ai senti la paix se poser sur moi comme un oiseau. Une force incroyable, qui ne m’a plus jamais quittée. Je suis allée jusqu’à Saint-Jacques, et puis je suis rentrée. J’ai repris ma vie. J’étais réparée. Je suis repartie à Compostelle trois ans plus tard, pour le plaisir, parce que sur la route tous les oripeaux sociaux se dissipent, et que je voulais sentir à nouveau cette paix et cette foi en la vie passer dans mon corps par mes pieds, par la poussière, par le chemin. J’étais en route depuis un mois quand j’ai rencontré un homme dont c’était le premier jour de marche. Nous avons cheminé ensemble, de loin en loin, et puis nous ne nous sommes plus quittés. Depuis, je suis toujours sur le chemin, les pieds sur terre, et la paix en moi.
Je sais que je suis reliée à “autre chose”… »
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C 'est l'homme qui prend la mer ...â«1â¦â«â«â«âªâª
Mais , c'est la mer qui prend l' homme ...â«â«1â¦â«â«âªâª
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Peu importe la facon de mourir, notre ame est immortelle, ce qui "meurt ou se noie" c'est notre corps physique.
Oui, en regardant un ciel étoilé aussi .
Van Gogh a très bien perçu et rendu ce sentiment d'infini.