Pourquoi ne parle-t-on pas du procès de la juge Prévost-Deprez ? On en apprend pourtant de belles sur Courroye et autres personnages ?
Le procès de la juge Prévost-Desprez vire au grand déballage
http://www.mediapart.fr/journal/france/090615/le-p...
...
http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2015/...
Où l'on apprend tout sur les graves manquements de Philippe Courroye pour rendre service à Sarkozy et à ses amis !
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Ou comment Courroye de Transmission a utilisé ses fonctions essentiellement pour entraver la justice dès que cela touchait Sarkozy ou l'UMP (en l'occurrence l'affaire Woerth-Bettencourt)
A part ça la justice n'était pas manipulée par Sarkozy, dont la notion de séparation de l'exécutif et du judiciaire est pour le moins élastique.
les dossiers sous le coude , les rapports discrets au chef de l'état , le harcèlement de ceux qui ne " pensent pas bien " , l'arrogance , le mépris ; l'impudence .....tout ça va-t-il enfin être révélé ou l'omerta reprendra-t-elle le dessus ?
La juge Isabelle Prévost Desprez....était bien l'informatrice privilégiée des journalistes du Monde a l'issue du procès la violation du secret d'instruction sera a n'en pas douter démontrée.....
http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2015/...
trop gênant
Silence radio sur le fiasco socialo de ''l'affaire Bettencourt'' qui est retournée à ce qu'elle n'aurait jamais dû quitter, la spoliation d'une vieille dame par un gigolo, ex de son mari, qui n'en est pas à son premier ''captage'' de vieux messieurs libidineux ou de leurs veuves !
Mais c'est à cause de ce genre de hyène (Prévost Despez) sectaire et partiale que cette affaire a glissé vers le règlement de comptes politique, comme tout se dénoue actuellement, les journaleux à la solde et acharnés contre l'ancien gouvernement qui souhaitait mettre fin à quelques uns de leurs privilèges fiscaux, ne font pas les fiers !
Je pense que les affaires de corruption qui touchent les pouvoirs exécutif et législatif sont déjà très largement commentées et je pense qu'on ne veut pas trop braquer les projecteurs sur les affaires qui touchent le pouvoir judiciaire réputé plus indépendant (bien que les magistrats "debout" sont placés sous l'autorité du garde des sceaux) de crainte que la nation finisse par se rendre vraiment compte de la composition de son élite... Comme pour l'instant, rien n'exige que les pouvoirs financiers et médiatiques soient clairement séparés des trois autres, il est assez facile d'endiguer ce qui pourrait faire trop de vagues.