Les pays anglo-saxons s'y sont convertis vers 1980 menés par Reagan et Thatcher, la France a décidé de les suivre en 1995 menés par Balladur (après une tentative infructueuse de Chirac en 1986), et l'UE a suivi (vers 2000) en ne franchissant pas le pas de l'Europe politique devenu nécessaire avec la monnaie unique.
Et ça ne risque pas de changer avec Sarkozy : il était le président de la mouvance qui s'appelle "Conservateur-libéraux" au sein de l'UMP avant d'être élu.
Leur doctrine est que ce n'est pas à l'état de régler les problèmes car le problème c'est l'état.
Tous les pays convertis à ce système sont dans la même situation : dette et chômage de masse.
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C'est le principe du libéralisme !
Les pays anglo-saxons s'y sont convertis vers 1980 menés par Reagan et Thatcher, la France a décidé de les suivre en 1995 menés par Balladur (après une tentative infructueuse de Chirac en 1986), et l'UE a suivi (vers 2000) en ne franchissant pas le pas de l'Europe politique devenu nécessaire avec la monnaie unique.
Et ça ne risque pas de changer avec Sarkozy : il était le président de la mouvance qui s'appelle "Conservateur-libéraux" au sein de l'UMP avant d'être élu.
Leur doctrine est que ce n'est pas à l'état de régler les problèmes car le problème c'est l'état.
Tous les pays convertis à ce système sont dans la même situation : dette et chômage de masse.
Voilà un avis qui me semble loin d'être couillon.
Je site:
Grands arrangements entre petits amis
L’annonce de la vraie fausse nomination de monsieur Borloo à la tête de Veolia Environnement illustre la nature du régime sarkozyste : l’alliance consanguine, décomplexée et ouvertement assumée des politiciens de droite avec les milieux d’affaire, les lobbies industriels et financiers, les groupes privés de l’immobilier ou de l’énergie. Le « comité des forges » d’aujourd’hui, c’est le « comité de l’électricité »…
Si on y ajoute l’intervention permanente d’espions et de barbouzes plus ou moins officiels se livrant aux coups tordus les plus extravagants (Après les révélations sur la manipulation visant a faire tomber des hauts fonctionnaires de gauche à la préfecture de police voire les derniers développements dans l’affaire des mines africaines d’AREVA), on a une petite idée des risques que ferait courir à la démocratie la réélection de l’actuel Président de la République.
Au fond, ces gens croient que tout leur est permis et que le pays leur appartient.
Mais une simple alternance électorale ne suffira pas à rétablir une pratique de l’exercice du pouvoir conforme à ce qui se fait dans de la plupart des pays démocratiques.
Car le mal est profond et ancien : sans vouloir mettre de l’acide sur des affaires récentes impliquant tel ou tel aux deux bouts de l’hexagone, qui ne se souvient il y a 30 ans des dérives des années Mitterrand ?
Certes elles n’atteignirent qu’épisodiquement les records actuels, mais elles mélangèrent tout aussi allégrement copinage entre la politique et les intérêts privés, affaires familiales et utilisation des moyens de l’Etat , recours aux officines policières à des fins d’espionnage... Elles coutèrent et coûtent encore moralement très cher à la vision qu’ont nos concitoyens de la politique en général et qu'ils ont de la politique à gauche en particulier.
Voilà pourquoi en plus des réformes majeures nécessaires pour stopper la dérive monarchique permanente de nos institutions, il conviendrait, pour mettre fin au grands mélanges des genres comme aux petites tentations ordinaires, d’installer des règles de comportements et de gouvernance assez simples et par exemple : la suppression des grands corps de l’Etat, la fin des allers et retours incessants du public vers le privé, le rétablissement de frontières plus nettes entre les grandes entreprises et les médias, une évaluation plus rigoureuse des conditions de passation des marchés publics à tous les niveaux, la révision des conditions de nomination aux responsabilités importantes de la justice comme dans les entreprises publiques, un contrôle parlementaire renforcé sur les activités des services de police et de renseignement et un encadrement sévère des officines privées de sécurité.
Autant de reformes que porte justement Eva Joly, la candidate des écologistes, qui par sa personnalité comme par son parcours, illustre un autre style de gouvernement , vraiment plus démocratique et bien plus moderne . Une raison supplémentaire de voter juste pour un quinquennat utile.
Jacques Archimbaud, secrétaire national adjoint
le moyen age quel bon temps, en effet
Les guerres interminables, les épidémies, l'espérance de vie ne dépassant pas 45 ans............etc
Que des merveilles :))
Une émission radio d'1 H qui vous apprendra des choses très importantes pour comprendre le monde.
Pour ceux qui le souhaitent, plein d'autres bons liens à me demander en privé.
Mais le politique a-t-il jamais dominé l'économie ? Vaste question, dont la conclusion risque d'être : "jamais", car il faut savoir dépasser la légende pour aller à la réalité des faits.
Politique et économe ont toujours été étroitement imbriquées, la première étant le moyen accéder à la fortune. La guerre avec le pillage était le moyen de se procurer des richesses à toutes les époques.
Voir une régression par rapport à l'époque médiévale, lorsque l'on se souvient du rôle des banquiers italiens en premier lieu, dans le financement des politiques royales a de quoi laisser perplexe
Nous vivons moins heureux (en particulier dans le domaine de la vie communautaire) qu'au Moyen-Ãge : il n'est que de voir par quelles gesticulations pathétiques ont été remplacées les superbes et joyeuses danses de village. Néanmoins nous progressons nettement plus vite que lui dans la connaissance du monde. Une fois cette connaissance mieux assurée, nous pourrons recréer une sorte de Moyen-Ãge moderne qui combinera le meilleur des deux mondes.
Mais mon cher , c'est nous qui dirigeons l'économie , les politiques ne sont que nos larbins !
Nous les payons bien ils doivent faire un bon travail pour nous !
Nous les capitalistes , les vrais !
nous sommes effectivement en régression depuis le Moyen Ãge, les détenteurs du pouvoir économique ont supplanté les détenteurs du pouvoir politique de manière progressive, entre le XVIe et le XVIIIe siècle
@Micdal, sauf qu'au Moyen Ãge, sans vraiment avoir de complexes, les autorités politiques se permettaient de spolier régulièrement les juifs ou les Lombards ! Tu verrais, aujourd'hui, un gouvernement décider de piocher dans les caisses des banques ?
Comparer notre époque à celle du Moyen-Age, faut vraiment être stupide.
Je sais que nous somme en régression mais évitons tout de même les comparaisons douteuses et totalement fausses, non mais excuse moi tu te rend compte de la stupidité de ta question, tu connais le niveau de vie des populations durant le Moyen-Age ? Je crois pas.
Si certain veulent paraitre crédible, qu'il arrête de poser des questions aussi con, désolé d'être vulgaire mais là je ne trouve que ce mot là .