A force de jouer avec leurs nerfs sur ce sujet.......préfèreront-ils une baisse du montant de leur retraite pour pouvoir rester en forme, pour se reposer et profiter.......ou travailleront-ils jusqu'au temps défini pour toucher davantage ?
Qu'en sera t-il pour vous ?
Update:@Robertsau...effectivement, c'est la peau de chagrin...
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Ils n'auront pas d'autre choix que d'accepter ce qu'il sera possible aux partenaires sociaux de leur proposer !
Il ne faut pas rêver : Compte tenu de la seule démographie -inclus l'allongement de la durée de vie-, on ne coupera pas à une triple obligation :
- Augmentation des cotisations
- Départ en retraite de plus en plus tardif, avec une modulation qui prendra en compte la notion de pénibilité du travail.
- Diminution générale des prestations.
S'ajoutera à ces joyeusetés une diminution des pensions de réversion et la nécessité pour chacun de capitaliser pour sa propre retraite.
Par ailleurs le système de répartition ne devrait pas être remis en cause et à terme il devrait y avoir un alignement des retraites du public sur celles du privé (hélas mais on n'aura pas le choix).
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Quand pas mal de retraités sont au niveau (sinon en dessous) du seuil de pauvreté avec leur quota d'années cotisées on peut se poser des questions.
Mon cas 1043.50 euros pour 46 ans et demi de cotisations, on ne m'en a compté que 42, départ longue carrière à 57 ans, j'avais commencé à 13 ans et demi.
Et pour être équitable, quand aligneront ils la retraite du publique sur le privé ?
Pour avoir travaillé toute ma vie à la tête de petites entreprises (donc fait travailler pas mal de gens), ma retraite à 63 ans fait que j'ai été dans l'obligation de me remettre à mon compte en ouvrant un commerce à défaut de me retrouver dans la rue...
Alors, on ne parle que de ce que l'on vit et non de ce que l'on imagine, mes chéris.
cf ci-dessus.
La retraite ça se prépare dès l'entrée dans la vie active, on choisi son boulot en fonction de ce que l'on veut toucher en quittant le monde du travail.