Cynthia Fleury. "C'est extraordinairement compliqué de définir ce qu'est un philosophe. Mais généralement, on considère qu'il y a deux mouvements. Un premier mouvement plutôt dans l'historiographie de la philosophie, c'est-à-dire plutôt quelque chose qui va vous positionner à l'intérieur d'une continuité philosophique. Donc de raconter, d'être le lecteur des autres systèmes et éventuellement de les transmettre, de les faire comprendre. Et puis l'autre mouvement, qui coniste à produire des outils, des concepts et d'inventer un nouvel acte dans cette grande histoire de la philosophie. Le philosophe fait les deux, sinon vous êtes un professeur de philosophie."
Update:S'il n'en reste un, ce sera Tétaclic ! l'homme capable de refaire la philosophie depuis Mathusalem à partir de ses seuls neurones...gloire à lui .
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Answers & Comments
Je sais, ça peut paraître curieux, voire un peu fou, ou carrément con, mais je n'ai vraiment pas envie de me situer par rapport à quelqu'un.. à commencer par Cynthia Fleury... un parti, une chapelle, un sectarisme moralisateur et tendance comme on en voit tant... que ce soit en philosophie, en politique ou en religion, aucun des précheurs de recettes ne m'intéresse vraiment... quelque chose me dit que cela pourrait nuire à l'idée que je me fais, ou plutôt à l'intuition qu'il me semble avoir parfois de ce que n'est pas la philosophie... et pour peu que j'en doute, merci encore à tous ceux qui m'aident à en douter encore plus.
J'en vois déjà qui se croyant au sommet d'eux même, glissent, et se ramassent sur leurs étalages savants.
Théodore... je ne suis pas philosophe, je ne fais donc pas de la philosophie une spécialité à part, facon "penseurs professionnels" ou profs de philo avec tout ce que ça implique .
Je suis très admiratif du talent d'écriture de Charly et Lulu car ce ne sont pas seulement des mots il y a là l'exigence d'une honnêteté, c'est juste clair et beau sans se vouloir joli...
Doit-on toujours être référencé sur l'organigramme de la vie ?
Même le plus grand philosophe, du haut de son piédestal n'apprendra-il plus à jamais ?
Donc d'après Cynthia Fleur, il est incontournable d'appartenir à un mouvement, à la manière d'une tendance politique, conservatrice ou démocrate, n'allez surtout pas essayer de réfléchir sans enfiler votre costume de "Superphiloman".
La philosophie est ouverte à tout le monde, sans prétention, sans étiquette, sans classe sociale... La valeur des réflexions ne peut certainement pas être soupesée comme un vulgaire beignet de certitude plus ou moins bien frit par des mains expertes...
je dirais ailleurs
j'aime bien butiner et redécouvrir de vieux questionnements
pas d'église ou de chapelle
pas besoin d'identification malgré toutes ces questions sans réponses ou réponses qui changent même imperceptiblement, rien du vivant n'étant jamais à l'identique et heureusement
Voici ce que je répondais il y a peu encore à cette question, ce me semble aussi convenir à la vôtre. https://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20...
Si c'est un bagne alors il ne vous reste qu'un choix possible, celui de vous en échapper. Je ne peux évoquer en la matière que mon cas personnel pour ne pas en faire une loi. Acceptant mes limites, ne prétendant jamais, je crois, philosopher au-dessus de mes moyens, je peux du moins et peut-être sans outrecuidance affirmer que je suis comme averti des erreurs de nos phares. C'est ce qui me prévient des transports où pourraient me conduire certaines admirations bien que j'aime admirer et qu'il ne soit rien tant que j'aie admiré dans ma jeunesse que la capacité de conceptualiser et de systématiser des grands créateurs et des grands bâtisseurs d'édifices philosophiques. Lorsque parfois, après bien des épreuves et bien des souffrances, il me fut donné de pénétrer enfin - aussi peu qu'il s'en faut - dans les somptueuses cathédrales des univers platonicien, cartésien, kantien, hégélien, marxiste, sartrien aussi, ce fut avec un recueillement écrasé et frémissant. Pourtant si fervent qu'ait été mon culte, si dévot mon zèle et si impressionné mon regard, dans aucune de ces cathédrales je n'ai pu me découvrir assez inconditionnel pour m'agenouiller et prier - pas davantage de sacerdoce, d'apostolat que de prison fût-elle dorée. Quelque chose m'avertissait en effet et j'étais comme dirigé vers la faille, la lézarde, la brèche. De plus, chaque fois que dans ma vie j'ai été contraint d'agir, c'est-à-dire de choisir, je me suis moins référé à des idées qu'à des exemples et j'ai plus souvent évoqué des visages que des systèmes. Les visages pouvant être ceux d'intimes que je ne vois plus mais qui, une fois pour toutes ont compté dans ma vie.
Pour le dire d'une manière plus générale : je ne suis pas créateur de concept, mais les plus grands, ceux que j'admire le plus ne m'intimident plus lorsqu'ils philosophent sur l'histoire, la politique, la révolution. Appelez çà comme vous voulez - chantait Maurice - une intuition des êtres, une sensibilité à l'évènement, un respect de la complexité, une exigence de la totalité, je ne sais comment qualifier cet instinct, qui ne doit rien aux études ni aux livres, et qui pourtant me donne à certains moments la force solitaire de résister à l'intimidation du style, à la rigueur du système et à ce qui devient très vite, dans certains milieux, le mien en l'occurrence, une terreur idéologique.
Je ne me situe pas/plus. Pour ce que ça change, me direz-vous. Ce que l'on invente c'est généralement ce que l'on a eu la flemme de chercher ailleurs. Je me suis toujours intéressée aux références. Lire du Platon sous un discours progressiste, c'est toujours amusant. Lire Machiavel derrière une harangue sûr la liberté, un grand moment d'ironie. Etc. Je pourrais établir une longue liste. Le plus intrigant, c'est que neuf fois sûr dix, les gens ignorent qu'elles références les nourrissent et les traversent. Il y a celles qu'ils revendiquent, bien sûr, mais il y a celles qu'ils ignorent. Au fond, je me dis souvent que c'est ça le vrai fond de commerce des mythologies du "bien-être", toutes ces thérapies à deux centimes. Un jour, un individu retrouve la parole claire et intelligible d'une pensée qu'il avait toujours suivi en filigrane sans s'en apercevoir. Pensée qui pouvait être en contradiction avec ce qu'il faisait mais néanmoins présente et qui créait comme un manque, qui rendait palpable l'absence. Évidemment, c'est peut-être moi qui m'accroche à cette idée mais elle explique tellement de choses, de façon si simple. 🙂
Bonjour Théo et bonne Année ..Je ne vous contredirais pas vous et Cynthia parce que contredire est forcément contre productif et donc stérile.
Il y a dans l'activité neuronale douze biais cognitifs qui contribuent à nous poser des oeillères et en ce qui concerne la philosophie qui est la connaissance de l'humain (et pas forcément la sagesse) les oeillères rendent, hélas, le cheval aveugle plutôt que paisible et docile comme c'était la fonction des oeillères aux temps jadis .
Je peux les raconter mais je crains qu'on me targue encore de suffisance ...Je me contente de les énumérer:Négativité ,Effet de foule,Fausses ou vraies probabilités, Faux consensus, Sélection observationnelle ,Statuquo ,Recherche confirmation, Endogroupe , Attente positive, Syndrome de Stockholm, double contrainte (Johannes Buridanus )
Voili voilà Si vous concevez un système philosophique pour chacun de ces biais cognitifs qui sont illusion plutôt que sagesse vous serez premier en Marketing mais peut-être pas en psychologie du portefeuille ... bon courage Monseigneur .
@@J"ai dit que je faisais le clown en CDD... Il faut bien que vieillesse se passe .bisousss Excuse moi, le chat j'étais en train de Clowner ma réponse j'ai omis mon poucenhaut ça est c'est fait !!!
Au fait j'ai une question pour toi comment définir un pince sans rire ?
@@@A tous ne vous embêtez pas à chercher et citer vos réponses elles sautent toutes comme des puces assoiffées
Et bisousss à tous ceux qui me lisent les autres je m'en m'en***
Très bon choix quant à cette femme de plus elle est psychanalyste, occupant aussi un poste en psychiatrie et philosophe, ce qui lui permet d'avoir le sens de la nuance, pour certains naturellement c'est une femme donc forcément critiquable mais avec elle nous ne sommes plus au crépuscule d'un vieux modèle mais une façon de voir ou de se questionner autrement, pas femme d'un clan, discrète, mais à l'heure actuelle du jugement populaire et de la cancel culture quel bien de l'écouter.
ce qui se conçoit clairement s'énonce clairement...
la philosophie est l'amour de la sagesse, et le philosophe aime la sagesse qui lui permet d'illuminer son mental et d'y voir plus clair...
👸🤗🤗
Je n'ai pas cette prétention.
Je me suis tout d'abords cherché un référent en Diogéne et j 'ai crée l 'avatar Dieugéne . Jeu de mots . Dieu étant le " maux " .
Puis j 'ai étudié ce que je pouvais comprendre de Frédéric Nietzsche qui m'a servi de catalogue d 'armes et cycles de Saint Étienne de la philosophie selon F L K .
Pour finir par créer mon propre isme en le MOIHISME .
Mon concept bien à moi ,mien , né entre mes petites papattes .
Bien qu'il ne soit en fait qu'un syncrétisme de tout ce que j 'avais assimilé auparavant .
En dernier ressort j 'attends la réalisation d une mutation mentale qui s' opérerait en moi comme une sublimation entre la folie et le nirvana suprême , la réalisation de mon œuvre débarrassée de toutes les scories glanées au cours de mes pérégrinations en ce Monde .
Amor Fati
PS ; Là j 'ai fait un peu long .
Même pas un petit pouce d 'encouragement au bout de 3 heures
Personne ne lit , ou je n 'intéresse personne , ce serait bien de le savoir .
@ Merci pour l 'encouragement .
Je tiens à porter à la connaissance du public
que l ' ANON SUPER SAINT CRETIN CONTINUE SES ATTAQUES SOURNOISE EN ANONYME en se planquant sur les questions des autres , n 'ayant pas le cran d 'en poser lui même
il a dit " - à force de côtoyer le chat tu déteins sur lui " en s 'adressant à Tétaclic
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