Mais cette "Vérité" par ses "faits" trébuche en plusieurs points.
Le premier point est que nous limitons les datas issus de ces "faits".
Des "faits" toujours intriqués à l' infini dans d' autres "faits" ... par les inexorables lois d'interdépendances reliant tout les éléments de l'univers...
Nos consciences sont donc toujours parcellaires...
Par ce simple constat ... nous ne pouvons prétendre appréhender la totalité de la "Vérité" ... ne pouvant cerner la totalité des "faits"....
Notre façon d' appréhender la "Vérité" reste donc relative ...
Par effet de domino ... tout les jugements de valeur qui en découleraient ... conservent cette relativité.
Ces jugements de valeurs sont doublement relatifs...
Relatifs une première fois par la relativité des "faits".
Relatifs à un second niveau ... car le juge lui même est sujet à d' énormes relativités qui vont teinter son jugement.
Question confuse. On distingue traditionnellement deux sortes de jugements : le jugement objectif, d'une part qui affirme ce qu'est ou comment est une chose, et les jugements de valeur d'autre part qui se prononcent non sur ce que les choses sont, mais sur des valeurs.
Il y a donc deux façons pour un énoncé d'être considéré comme valide : ou bien au titre de sa conformité avec quelque réalité objective (même formelle), ou bien au titre de sa conformité à quelque évidence éthique réputée universelle. Exemple :
"We hold these truths to be self-evident, that all men are created equal, that they are endowed by their Creator with certain unalienable Rights, that among these are Life, Liberty and the pursuit of Happiness."
Nous tenons, dit Jefferson, pour des vérités évidentes par elles-mêmes [et donc n'ayant pas besoin d'être démontées] que tous les hommes naissent égaux, qu'ils sont dotés par leur Créateur de Droits inaliénables, parmi lesquels sont la Vie, la Liberté et la recherche du Bonheur.
c'est à dire quelque chose qui existe en soi, et que par suite, on n'a pas besoin de démontrer...
et le philosophe, au moins l'étudiant en philosophie est dit être un chercheur de vérité...
en fait, on peut très facilement démontrer que la vérité existe, car si elle n'existe pas, alors tout est mensonge, et si tout est mensonge alors dire que la vérité n'existe pas en est un aussi...
mais ceci est un jeu pervers d'intellectuel, et le philosophe préfère exposer la vérité plutôt que tergiverser...
le mot veda, en sanskrit, est traduit vérité en français, et les vedas sont un énorme traité de philosophie qui fait que la vérité des vedas sont la philosophie elle-même, et cette philosophie contient six chapitres:
le premier est la logique, la science qui permet de philosopher par l'étude, parce qu'elle établit les règles mathématiques de la pensée et du sentiment...
le deuxième est l'étude des différents véhicules de l'homme, c'est à dire des plans de la conscience que la pensée et le sentiment lui permettent d'explorer,
puis viennent les différentes études de la respiration, de la méditation, qui est en soi l'activité de l'âme donc l'étude de l'énergie, puisque l'âme c'est l'énergie qui anime les différents plans de la conscience, et des huit piliers du yoga, du karma, et quelques autres petites choses qui permettent de comprendre les lois de la vie...
tout ceci conduit à l'étude de la philosophie de l'action qui à son tour permet de comprendre en quoi consiste l'action juste, le dharma...
l'avant dernier chapitre est quelque chose d'assez curieux, c'est l'étude des principes qui permettent d'eliminer dans le mental tout ce qui a permis de comprendre tout ce qui a été étudié jusqu'ici, et qui empêche de voir la vérité qui est exposée dans le dernier chapitre...
en gros cette vérité est que seul ce qui est est la vérité, cette vérité immuable, la connaissance parfaite du soi, indépendante de l'espace, du temps et de la personnalité extérieure, non tributaire de la réalité des phénomènes toujours changeante et trompeuse...
vérité qu'on peut résumer ainsi,
seul cela est, cela, le soi, l'être,
et tout ceci (le non soi, ce qui est manifesté dans le monde visible) est cela,
donc je suis cela parce que je suis est cela et qu'il n'y a rien d'autre...
c'est quand l'étudiant en philosophie atteint cette vérité qu'il devient philosophe, éternellement libre de la pensée et des formes qu'elle crée...
toute cette connaissance des vedas, incroyablement vaste et riche d'enseignements de toutes sortes, n'est pas remise en question aujourd'hui, mais contournée, dans le sens où une connaissance nouvelle est donnée à l'homme, c'est la conscience elle-même, celle que les philosophes et les scientifiques ensemble appellent la conscience, le soi, le cela des vedas, et on contourne les enseignements du passé parce que les enseignements des vedas et du passé permettaient d'accéder à la conscience de soi,
alors qu'aujourd'hui, c'est par la connaissance du soi qu'on parvient à la compréhension du non soi et des phénomènes...
cette connaissance est transmise dans les enseignements de la présence Je Suis, qui vous dis tout de suite qui vous êtes au lieu de vous laisser le découvrir après une longue quête de la vérité...
c'est le maître jésus qui a montré le chemin de cette connaissance, en disant "je suis la vérité" ce qui permet aujourd'hui, au bout de deux mille ans de méditation sur cette vérité de comprendre cette science du je suis qui est cela, la seule vérité...
aujourd'hui, le philosophe peut dire: la connaissance parfaite de la présence je suis et de son usage est la seule vraie voie de vie !
et cette vérité est présente sur le net à différents endroits...
tout le monde peut y avoir accès...
je veux dire tout le monde, ça veut dire qu'il n'y a pas besoin d'avoir étudié toutes les théories élaborées par l'intellect humain, dans les vedas ou ailleurs, pour expérimenter la conscience qui est la demeure de la connaissance et le domaine de toutes les possibilités...
c'est simple, c'est gratuit, parce que je suis la vérité ...
il y a la vérité des faits c'est irréfutable, mais la vérité a bien des aspects que l'on découvre si on est intéressé par la vérité.
Si on veut vivre dans le mensonge, la vérité est un danger. Mais si on recherche la vérité, ce qui est un paradoxe en soi, car si on ne sait pas de quoi il s’agit on ne peut pas la reconnaitre, il faut s'intéresser à un de nos plus gros mensonge, c'est à dire l'image qu'on donne de soi même. Et si par une chance miraculeuse, on trouve une manière ce vivre sans cette image, alors on découvre petit à petit, toutes sortes de merveilles, le divin, puis on est un maître, et si on continue on découvre l'intelligence, la compassion, la fin de la cruauté, puis le pouvoir et la totalité de soi même, et cette vérité dont on dit qu'il n'y a pas de chemin car plus personne ne peut vous suivre. La vérité n'admet pas de suiveur car elle fait de vous votre propre lumière. Elle vous libère et les personnes qui tentent de faire de vous un leader et essaient de vous suivre sont détruit par elle. Elle n'a pas besoin d'être parafée au bas d'un document, elle n'a pas besoin d'une religion derrière elle, elle n'a besoin de rien, elle est comme le soleil dans le ciel qui est sa propre source de lumière, personne ne l'éclaire.
Answers & Comments
la vérité est un mirage dans le désert de notre ignorance .
"
"Nous ne croyons pas que la vérité reste encore vérité quand on lui enlève ses voiles."
Friedrich Nietzsche
Pas plus l'un que l'autre .
La vérité est la conformité de ce que tu dis avec ce qui est .
La "Vérité" est ... "fait"...
Mais cette "Vérité" par ses "faits" trébuche en plusieurs points.
Le premier point est que nous limitons les datas issus de ces "faits".
Des "faits" toujours intriqués à l' infini dans d' autres "faits" ... par les inexorables lois d'interdépendances reliant tout les éléments de l'univers...
Nos consciences sont donc toujours parcellaires...
Par ce simple constat ... nous ne pouvons prétendre appréhender la totalité de la "Vérité" ... ne pouvant cerner la totalité des "faits"....
Notre façon d' appréhender la "Vérité" reste donc relative ...
Par effet de domino ... tout les jugements de valeur qui en découleraient ... conservent cette relativité.
Ces jugements de valeurs sont doublement relatifs...
Relatifs une première fois par la relativité des "faits".
Relatifs à un second niveau ... car le juge lui même est sujet à d' énormes relativités qui vont teinter son jugement.
Parfois un fait, parfois un jugement de valeur, ou même les deux à la fois, le temps qu'elle ne transcende la dualité ... :)
Question confuse. On distingue traditionnellement deux sortes de jugements : le jugement objectif, d'une part qui affirme ce qu'est ou comment est une chose, et les jugements de valeur d'autre part qui se prononcent non sur ce que les choses sont, mais sur des valeurs.
Il y a donc deux façons pour un énoncé d'être considéré comme valide : ou bien au titre de sa conformité avec quelque réalité objective (même formelle), ou bien au titre de sa conformité à quelque évidence éthique réputée universelle. Exemple :
"We hold these truths to be self-evident, that all men are created equal, that they are endowed by their Creator with certain unalienable Rights, that among these are Life, Liberty and the pursuit of Happiness."
Nous tenons, dit Jefferson, pour des vérités évidentes par elles-mêmes [et donc n'ayant pas besoin d'être démontées] que tous les hommes naissent égaux, qu'ils sont dotés par leur Créateur de Droits inaliénables, parmi lesquels sont la Vie, la Liberté et la recherche du Bonheur.
en philosophie, la vérité est un principe...
c'est à dire quelque chose qui existe en soi, et que par suite, on n'a pas besoin de démontrer...
et le philosophe, au moins l'étudiant en philosophie est dit être un chercheur de vérité...
en fait, on peut très facilement démontrer que la vérité existe, car si elle n'existe pas, alors tout est mensonge, et si tout est mensonge alors dire que la vérité n'existe pas en est un aussi...
mais ceci est un jeu pervers d'intellectuel, et le philosophe préfère exposer la vérité plutôt que tergiverser...
le mot veda, en sanskrit, est traduit vérité en français, et les vedas sont un énorme traité de philosophie qui fait que la vérité des vedas sont la philosophie elle-même, et cette philosophie contient six chapitres:
le premier est la logique, la science qui permet de philosopher par l'étude, parce qu'elle établit les règles mathématiques de la pensée et du sentiment...
le deuxième est l'étude des différents véhicules de l'homme, c'est à dire des plans de la conscience que la pensée et le sentiment lui permettent d'explorer,
puis viennent les différentes études de la respiration, de la méditation, qui est en soi l'activité de l'âme donc l'étude de l'énergie, puisque l'âme c'est l'énergie qui anime les différents plans de la conscience, et des huit piliers du yoga, du karma, et quelques autres petites choses qui permettent de comprendre les lois de la vie...
tout ceci conduit à l'étude de la philosophie de l'action qui à son tour permet de comprendre en quoi consiste l'action juste, le dharma...
l'avant dernier chapitre est quelque chose d'assez curieux, c'est l'étude des principes qui permettent d'eliminer dans le mental tout ce qui a permis de comprendre tout ce qui a été étudié jusqu'ici, et qui empêche de voir la vérité qui est exposée dans le dernier chapitre...
en gros cette vérité est que seul ce qui est est la vérité, cette vérité immuable, la connaissance parfaite du soi, indépendante de l'espace, du temps et de la personnalité extérieure, non tributaire de la réalité des phénomènes toujours changeante et trompeuse...
vérité qu'on peut résumer ainsi,
seul cela est, cela, le soi, l'être,
et tout ceci (le non soi, ce qui est manifesté dans le monde visible) est cela,
donc je suis cela parce que je suis est cela et qu'il n'y a rien d'autre...
c'est quand l'étudiant en philosophie atteint cette vérité qu'il devient philosophe, éternellement libre de la pensée et des formes qu'elle crée...
toute cette connaissance des vedas, incroyablement vaste et riche d'enseignements de toutes sortes, n'est pas remise en question aujourd'hui, mais contournée, dans le sens où une connaissance nouvelle est donnée à l'homme, c'est la conscience elle-même, celle que les philosophes et les scientifiques ensemble appellent la conscience, le soi, le cela des vedas, et on contourne les enseignements du passé parce que les enseignements des vedas et du passé permettaient d'accéder à la conscience de soi,
alors qu'aujourd'hui, c'est par la connaissance du soi qu'on parvient à la compréhension du non soi et des phénomènes...
cette connaissance est transmise dans les enseignements de la présence Je Suis, qui vous dis tout de suite qui vous êtes au lieu de vous laisser le découvrir après une longue quête de la vérité...
c'est le maître jésus qui a montré le chemin de cette connaissance, en disant "je suis la vérité" ce qui permet aujourd'hui, au bout de deux mille ans de méditation sur cette vérité de comprendre cette science du je suis qui est cela, la seule vérité...
aujourd'hui, le philosophe peut dire: la connaissance parfaite de la présence je suis et de son usage est la seule vraie voie de vie !
et cette vérité est présente sur le net à différents endroits...
tout le monde peut y avoir accès...
je veux dire tout le monde, ça veut dire qu'il n'y a pas besoin d'avoir étudié toutes les théories élaborées par l'intellect humain, dans les vedas ou ailleurs, pour expérimenter la conscience qui est la demeure de la connaissance et le domaine de toutes les possibilités...
c'est simple, c'est gratuit, parce que je suis la vérité ...
il y a la vérité des faits c'est irréfutable, mais la vérité a bien des aspects que l'on découvre si on est intéressé par la vérité.
Si on veut vivre dans le mensonge, la vérité est un danger. Mais si on recherche la vérité, ce qui est un paradoxe en soi, car si on ne sait pas de quoi il s’agit on ne peut pas la reconnaitre, il faut s'intéresser à un de nos plus gros mensonge, c'est à dire l'image qu'on donne de soi même. Et si par une chance miraculeuse, on trouve une manière ce vivre sans cette image, alors on découvre petit à petit, toutes sortes de merveilles, le divin, puis on est un maître, et si on continue on découvre l'intelligence, la compassion, la fin de la cruauté, puis le pouvoir et la totalité de soi même, et cette vérité dont on dit qu'il n'y a pas de chemin car plus personne ne peut vous suivre. La vérité n'admet pas de suiveur car elle fait de vous votre propre lumière. Elle vous libère et les personnes qui tentent de faire de vous un leader et essaient de vous suivre sont détruit par elle. Elle n'a pas besoin d'être parafée au bas d'un document, elle n'a pas besoin d'une religion derrière elle, elle n'a besoin de rien, elle est comme le soleil dans le ciel qui est sa propre source de lumière, personne ne l'éclaire.
Sa dépend quel sens tu lui met.
Au sens religieux. Mystique.
La vérité, c'est surtout vouloir imposer une croyance relevant du mysticisme.
Du Grand n'importe quoi façon bien lourd parfois.
Sinon, dans la science. On ne parlera pas de 'verité'.
On parle de faits. D'observations, ou de théorie pour bien différencier la nature de ce qu'ont parle.
Méfiez vous des gens qui parlent de 'verité.
À 99℅ ça sent le coup fourré
Pour moi la Vérité n'es pas un fait parce que c'est pas possible
de l'apprendre à l'école où dans une université.Ces le contraire,
le plus que tu apprends dans ce monde le plus loin est votre chance
à trouver la réalité.Pourquoi pense tu que la majorité cours après le
plaisir? Toutes ce que tu vois est noirceur.Il faut trouver la lumière
avant que tu trouve la Vérité.Les oeuvres du monde sont méchants.
Ils veulent pas se sortir de la noirceur, n'es pas?