je fais ce je peux, si j'peux pas avoir une bagnole, j'achète un velo.

Je ne suis plus dupe, être heureux c'est un état d'esprit.

l'accumulation de chose nous rend dépendant et accro au matériel.

Je vis, je ris, je parle, j'aime, je partage au maximum avec mes semblable.

Et un jour, repue, je dirai by by à tout ça. J'irai voir un autre monde et je recommencerai.

traquez la joie et le bonheur comme vous pouvez avec les moyens du bord.

Et surtout ne nous plaignant pas, la vie est trop courte.

@pierrot, tu vois qu'un bout du tout, ouvre les yeux et regarde à 360°. L'individu n'est rien sans les autres

Je vais vers les autre si je peux et /ou les autres viennent vers moi car ils le peuvent.

C'est le global, le système qui fonctionne, pas l'individu ( trop aléatoire)

Notre société de consommation fait la part belle à l'individu, pour mieux flatter son côté narcissique, et le faire exister qu'à travers la consommation. La notion de réussite, pourtant très complexe à appréhender, est réduite à la consommation, j'ai une voiture plus grosse, une montre plus cher (et pourtant, elle ne donne que l'heure), les autres m'envient, me jalousent donc j'ai réussis.

Voilà comment la société de consommation nous manipule et nous rend débile.

Car un être humain normal, ne peut pas consommer avec autant de frénésie (on ne jette plus choses parce qu'ils sont hors d'usage, mais parce qu'ils ne sont plus à la mode).

Résultat,on est esclave du système (comme toujours) et avec un revenu de 1000€ par mois

( une fortune pour un africain) on est considéré comme pauvre.