Les USA ont fait voter de nouvelles sanctions contre la Corée du Nord.
Dont des expulsions de Nord-Coréens travaillant à l'étranger.
Mais comment va-t-on faire pour ceux qui sont en possession d'un titre de séjour régulier ?
Comment va-t-on faire pour ceux qui peuvent être mariés avec des nationaux du pays où ils travaillent et qui ont peut-être des enfants ?
Comment va-t-on faire pour ceux qui sont des réfugiés politiques ?
Tout cela me paraît bien étrange : quand nous sommes à l'étranger, sommes-nous responsables de la politique de notre pays ?
CF
La résolution impose également de ne plus accueillir les dizaines de milliers de travailleurs nord-coréens envoyés par le régime à l’étranger, une majorité vivant en Chine et en Russie. Ils seront contraints, selon le texte, de regagner leur pays d’ici à la fin de 2019
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2017/...
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Je ne connais pas le droit américain, mais ça me fait penser au fait qu'on risque d'avoir un clash, une incompatibilité juridique entre le droit fédéral et le droit qu'il y a dans les différents Etats américains...
Et la question, c'est de savoir si l'on peut virer un salarié pour des motifs politiques...
Si tel est le cas, d'ici à ce que ça donne des idées à nos abrutis au pouvoir en France...
Il est question des travailleurs ENVOYES PAR LE REGIME ; des travailleurs détachés en qq sorte, dans des entreprises ayant accords avec le régime nord-coréen, et chaînes gérées ou co-gérées par ce régime. Ça ne concerne en rien les réfugiés politiques, ni les Nords-Coréens partis hors de ce cadre pour immigrer.
@ rappelons que ces sanctions ont été votées à l'unanimité, y compris Chine et Russie où se trouvent la majorité des ces travailleurs. Celle-ci est sans doute une des plus sévères , voire la plus, car elle isole vraiment non seulement l'Etat mais aussi ses ressortissants.
La même question pourrait être poser pour les Mahométans.
Oui, les Etats-unis sont une ploutocratie.
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En voici un exemple : les TRUSTS.
Il ne s’agit pas des concentrations d’entreprises industrielles, non, mais de l’outil juridique.
Extrait :
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LE TRUST EN DROIT CIVIL
http://www.etudes-fiscales-internationales.com/med...
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« Le trust est fréquemment utilisé, dans le monde anglo-saxon, d’abord pour transmettre un patrimoine, notamment des parts d’une entreprise familiale, en en assurant le maintien dans le cercle familial sur plusieurs générations alors qu’un « vrai » legs permettrait notamment aux légataires d’aliéner les biens. (…) »
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Les trusts permettent aussi de déshériter certains héritiers « légitimes ».
On les rencontre également aux EU et en Grande-Bretagne.
L’une des croyances les plus fermes en ce qui concerne les États-Unis est qu’il s’agit d’une démocratie. Chaque fois que cette conviction fait l’objet d’un léger fléchissement, c’est presque toujours pour signaler des exceptions préjudiciables aux valeurs ou aux principes fondamentaux américains. Par exemple, les détracteurs en herbe déplorent souvent une « perte de démocratie » due à l’élection de clowns autocrates, à des mesures draconiennes de l’État, à la révélation d’incroyables malversations ou corruption, à des interventions étrangères meurtrières ou à d’autres activités considérées comme des exceptions antidémocratiques. Il en va de même pour ceux dont la démarche critique consiste à toujours juxtaposer les actions du gouvernement américain avec ses principes fondateurs, à mettre en évidence la contradiction entre les deux et à placer clairement un espoir dans sa possible résolution.
Le problème, cependant, est qu’il n’y a pas de contradiction ou de prétendue perte de la démocratie, parce que les États-Unis n’en ont tout simplement jamais été une. C’est une réalité difficile à admettre pour beaucoup de gens, et ils sont probablement plus enclins à rejeter immédiatement une telle affirmation comme étant absurde plutôt que de prendre le temps d’examiner le dossier historique matériel pour voir par eux-mêmes. Une telle réaction dédaigneuse est due en grande partie à ce qui est peut-être la campagne de relations publiques la plus réussie de l’histoire moderne. Ce que l’on verra, cependant, si ce dossier est inspecté sobrement et méthodiquement, c’est qu’un pays fondé sur l’élite, la domination coloniale basée sur le pouvoir de la richesse, une oligarchie coloniale ploutocratique en somme, a réussi non seulement à acheter l’étiquette de « Démocratie » pour se vendre aux masses, mais aussi à faire en sorte que ses citoyens, et bien d’autres, se soient tellement investis socialement et psychologiquement dans son mythe nationaliste originel qu’ils refusent d’entendre les arguments lucides et bien documentés prouvant le contraire.