Ci-dessous une explication venant du site de l’ESA. Les particules peuvent détruire des cellules humaines en les frappant, y compris les cellules du cerveau, ou se contenter d’abîmer l’ADN des cellules qui deviennent défectueuse et peuvent être à l’origine de cancers.
Quoiqu’il y ait des recherche sur le sujet, il n’y a aucun moyen de protection suffisant.Pour ceux qui vont dans l’espace on mesure leur temps d’exposition, comme les travailleurs du nucléaire, en espérant que cela reste dans une limite d’exposition acceptable. Une fois revenu sur Terre cela augmente la probabilité de problème de santé, mais il sera sans difficile de savoir si un problème de santé a été directement causé par l’exposition aux rayons cosmiques.
« Les rayonnements cosmiques sont l’un des plus grands dangers pour la santé des astronautes. Les particules d’énergie traversant l’espace à une vitesse proche de celle de la lumière peuvent provoquer d’importants dégâts sur les cellules du corps humain et augmenter considérablement les risques de cancer. Pour protéger au mieux les membres d’équipage des missions spatiales, l’ESA collabore avec un centre de recherche allemand pour tester différents types de protection contre les rayonnements, y compris ceux sur la surface de la Lune et de Mars.
L’espace regorge de particules chargées, ce qui implique que les astronautes sont officiellement classés dans la catégorie des travailleurs exposés aux rayonnements. Certaines de ces particules proviennent de courtes et intenses éruptions solaires. D’autres, identifiées comme des rayons cosmiques, sont produites par des étoiles mourantes dans des galaxies lointaines. »
Et il y a un très léger ralentissement puisqu'ils se déplacent beaucoup plus vite que nous, autour de la Terre, ce qui par la relativité leur accorde une microseconde de vie en plus par rapport à nous pour quelque temps passé dans l'espace.
Mais bon, si le cancer leur en enlève des mois ou années… L'important est la valeur de l'utilisation de ce temps mis à disposition.
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Ci-dessous une explication venant du site de l’ESA. Les particules peuvent détruire des cellules humaines en les frappant, y compris les cellules du cerveau, ou se contenter d’abîmer l’ADN des cellules qui deviennent défectueuse et peuvent être à l’origine de cancers.
Quoiqu’il y ait des recherche sur le sujet, il n’y a aucun moyen de protection suffisant.Pour ceux qui vont dans l’espace on mesure leur temps d’exposition, comme les travailleurs du nucléaire, en espérant que cela reste dans une limite d’exposition acceptable. Une fois revenu sur Terre cela augmente la probabilité de problème de santé, mais il sera sans difficile de savoir si un problème de santé a été directement causé par l’exposition aux rayons cosmiques.
« Les rayonnements cosmiques sont l’un des plus grands dangers pour la santé des astronautes. Les particules d’énergie traversant l’espace à une vitesse proche de celle de la lumière peuvent provoquer d’importants dégâts sur les cellules du corps humain et augmenter considérablement les risques de cancer. Pour protéger au mieux les membres d’équipage des missions spatiales, l’ESA collabore avec un centre de recherche allemand pour tester différents types de protection contre les rayonnements, y compris ceux sur la surface de la Lune et de Mars.
L’espace regorge de particules chargées, ce qui implique que les astronautes sont officiellement classés dans la catégorie des travailleurs exposés aux rayonnements. Certaines de ces particules proviennent de courtes et intenses éruptions solaires. D’autres, identifiées comme des rayons cosmiques, sont produites par des étoiles mourantes dans des galaxies lointaines. »
Et il y a un très léger ralentissement puisqu'ils se déplacent beaucoup plus vite que nous, autour de la Terre, ce qui par la relativité leur accorde une microseconde de vie en plus par rapport à nous pour quelque temps passé dans l'espace.
Mais bon, si le cancer leur en enlève des mois ou années… L'important est la valeur de l'utilisation de ce temps mis à disposition.