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c'est à peu près la même différence qu'entre le bon chasseur et le mauvais chasseur...

Salut, je comprends pas bien la question à préciser mais ça me fait encore penser à Molière qui a dénoncé et ridiculisé les faux dévots et leur hypocrisie: Eux sans doute étaient de "faux croyants", perso je suis Agnostique^^.

Un vrai croyant c'est celui qui accepte la vie comme elle se présente et fait confiance a son créateur parce qu’il le connait et il est certain qu'il ne va pas le décevoir.

jésus

Une personne de mon entourage m' envoie des fichiers depuis quelques mois , je viens de lui renvoyer 5 fichiers sur 6 ce matin... rien que du racisme! ras la couette!

Jésus Christ a dit "on reconnait l'arbre à son fruit". Donc les faux croyants produisent de mauvais fruits et les vrai de bons fruits.

(En fait, ce sont les FAUX croyants , qui insultent Dieu couramment...

Ceux qui dissent avoir la Foi ; mais qui ont tout plein de haine en eux...

Ceux qui n'ont pas d'amour pour leurs prochains...)

(Les vrais croyants, ont plein d'amour en eux ;

aides et aimes leurs prochains...)

Je me fiche complêtement de savoir qui est un "vrai croyant" ou un "faux croyant".

Je n'ai pas à prendre en charge les positionnement des uns et des autres par rapport à telle ou telle divinité.

Soi toi un bon croyant là tu distinguera les bon des mauvais croyants...

Je pense que la différence est entre celui qui pratique sa religion et celui qui ne la pratique pas.

Puisque tu dis ne pas croire qu'il y ait une différence, pourquoi poses-tu la question?

T'ai-je posé une question à trois balles? (Note: Je ne sais pas ce que cela veut dire.)

C'est pourtant simple !

1- Si tu tiens pour bon le postulat que la religion ne concerne que des débiles légers à profonds, le "vrai croyant" est le fondamentaliste, éventuellement égorgeur. Corolaire : tout croyant qui pense sa religion, interprète, contextualise t'expose des trucs qui ne vont pas dans ton sens, est un hypocrite qui n'assume pas sa religion.

2- Si tu tiens pour bon que les religions sont des systèmes dynamiques dont "la vérité" dépend de leur milieu d'insertion contemporain, tu saisis que le rapport au texte fondateur n'est pas celui qui est le plus couramment admis par le sens commun mais que le corpus traditionnel de règles d’interprétation donne des résultats en perpétuelle évolution. Auquel cas, la distinction "vrai" et "faux" croyant n'est pas pertinente. Si tu connais ce corpus de règles, tu peux parler de "croyant éclairé" et de "croyants naïfs" ; sinon, tu ne peux qu'accepter la situation d'indétermination dans laquelle tu te trouves.