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On peut se demander si la désinformation journalistique dans cette triste affaire n'était pas destinée à influencer le vote des gens à Villeneuve sur Lot.

Lorsque l'information devient une arme politique dans des mains malhonnêtes, elle change de nom pour devenir de la propagande !

Attaquer par derrière c'est un moyen de défendre quoi?

http://www.youtube.com/watch?v=sUZWlf_vuKg

La vérité éclate enfin après des semaines de propagande gauchiste, puante, nauséabonde, demandant la "dissolution des groupes d'extreme droite".

La vérité en réalité est celle que j'avais donnée dès le départ : cette crapule est venu provoquer, insulter et agresser. En prime, il n'a même pas eu les couilles de faire face à sa proie, il est venu frapper dans la tête par derrière !!

Ce sont les groupes d'extreme gauche qu'il faut dissoudre !!

Cette petite frappe "antifa" était donc un activiste d’extrême gauche, connu des services de police. Et s'il avait pu, c'est lui qui aurait tué l'autre. Il était venu faire de la provocation, et "chasser du skin", et manque de pot il est tombé sur plus fort que lui. Il faut assumer. C'est ce qu'on appelle la responsabilité individuelle, concept étranger pour la gauche.

Une caméra de surveillance de la RATP a enregistré la rixe à l'issue de laquelle Clément Méric, un militant d'extrême gauche, a été mortellement blessé, le 5 juin, rapporte RTL. Selon la radio, la police judiciaire et les experts de la police scientifique disposent d'images filmées par une caméra de surveillance située côté rue, au niveau de la station de métro Havre-Caumartin.

Selon le journaliste d'RTL, les images montrent d'abord une bagarre générale au cours de laquelle Esteban M., un skinhead de 20 ans, se bat avec deux militants d'extrême gauche. Toujours selon le journaliste d'RTL qui semble avoir vu les images, Clément Méric arrive alors dans son dos et tente de le frapper à la tête, mais le skinhead se retourne et lui assène un coup de poing au visage.

Une version formellement contestée par un commissaire de la police judiciaire de Paris cité par Libération, qui affirme que la vidéo ne permet de voir que "des échanges de coups de pied" et les "chaussures claires" de Clément Méric passer derrière les "godillots" d'Esteban M. "Peut-être Méric donne-t-il un coup à [Esteban M.] lequel, en tout cas, se retourne. Et Méric tombe par terre ", poursuit le commissaire.

Les éléments de la vidéo cités par RTL iraient dans le sens du témoignage d'un vigile présent sur les lieux du drame, et dont Le Point révèle le procès-verbal de l'audition. Il raconte avoir demandé au groupe d'antifascistes de quitter les lieux, tandis que les skinheads cherchaient à les éviter. "Clément Méric voulait vraiment en découdre", affirme-t-il. "Il semblait vraiment haïr ces gens."

Serge Ayoub, leader des Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR), dont le groupe de skinheads est dit proche, avait également soutenu cette version des faits. Il évoquait les provocations verbales des militants d'extrême gauche, qui menaçaient de "massacrer" le groupe dont faisait partie Esteban M.

La séquence vidéo de la RATP confirme que Clément Méric s'effondre, inconscient, et n'est pas frappé au sol. Mais elle ne permet pas de dire de façon explicite si Esteban M. donne un deuxième coup ni s'il a un poing américain, ce que ni l'enquête ni l'autopsie n'ont permis de confirmer. Esteban M. soutient lui "avoir frappé à mains nues" et avoir donné "deux coups".

Esteban M. a été mis en examen pour violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner. Le juge d'instruction n'a pas retenu l'homicide volontaire, qualification qui avait été choisie par le parquet dans l'ouverture de l'information judiciaire. Esteban M. a été placé en détention provisoire.

La police judiciaire a écarté la thèse du guet-apens, la présence des deux groupes impliqués à une "vente privée de vêtements de marque anglaise" dans le quartier Saint-Lazare, à Paris, semblant "totalement fortuite".

Ok, c'est rassurant de savoir que les skinheads ne portent pas toujours le 1er coup.

Vu que la blessure était telle qu'on a pensé qu'il a reçu de multiple coups, cela semble confirmer le port du poing américain, et donc l'usage d'une arme. Ce qui est au final pire pour l'accusé