Si la classe travailleuse n'a plus d'avenir à cause du virus, c'est qu'elle a vendu sa force de travail au virus?
« Ce n'est pas la foi qui rend heureux, pas la foi en des curetons égoïstes et nobles, mais c'est le travail qui rend heureux, car le travail rend libre. Ce n'est ni protestant ou catholique, ni allemand ou chrétien, ni libéral ou servile, c'est une loi générale de l'humanité et la condition sine qua non de toute vie et aspiration, de tout bonheur et accomplissement ».
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je crains que ta question est mal-placée ici. Elle n'est pas religieuse,
ni spirituelle …
pas vraiment …
mais tu l'as posée, elle mérite une réponse :
oui, effectivement … nous laissons le virus travailler au lieux que nous
travaillions …
si la "classe travailleuse" tuait les gens à la place du virus, le virus
n'aurait pas de champs d'action. P-ex comme faisaient quelques
dictateurs, qui éliminaient d'autres catégories de la société. P-ex
un Ceausescu avait fait interdire l'ambulance d'aller chercher des
gens inutiles (p-ex qui avaient déjà trop vécus) …
ou comme un autre (avec son petit carnet rouge) avait fait éliminé
80-85 millions indésirables ...
c'est toujours pour et au nom de la "classe travailleuse" …
« Contrairement à une légende largement répandue, cette masse prolétarienne, bien que fortement stratifiée, voir son degré d’homogénéité largement accroître et non décroître. Entre un ouvrier manuel, un employé de banque, et un petit fonctionnaire public, la distance est moindre aujourd’hui qu’elle ne le fut il y a un demi-siècle ou un siècle, en ce qui concerne le niveau de vie, et en ce qui concerne l’inclination à se syndiquer et à faire grève, et en ce qui concerne l’accès potentiel à la conscience anticapitaliste. »