les deux plus grand massacres de populations au nom de l'idéologie venait de société sans Dieu, et récentes : Allemagne et Urss. La 3ème place du podium est à débattre, touours par des société sans Dieu : Cambodge de Polpot, Chine de Mao, ...
La radicalisation athée n'est pas une invention, et peut revenir. La nature humaine est mauvaise, et il y aura toujours des utilisations perverses de tous les idéaux, et il n'y a pas de raison que les athées soient une élite protégée de cette tendance
Satan, car il a semé un esprit d'égarement, sur des esprits faibles et influançables, afin de les entraîner avec lui dans ses ténèbres, car ses jours sont comptés.
La bonne question n'est pas "Qui ?" mais "Quoi ?" et ces "quoi" sont plusieurs.
1- la fin de la croyance au progrès.
La connaissance améliore les conditions de vie de l'humanité : des échanges plus faciles, une meilleure information, moins de morts, moins de famines, une meilleure santé… On se rend compte depuis une cinquantaine d'année que le progrès n'est pas tout rose : les maladies iatrogéniques, Tchernobyl, l’avion que les bombardiers de Dresde ou de Coventry, le train les déraillements, la génétique le clonage, le réchauffement climatique.
2-- La prophétie contenue dans la loi des 3 états d'Auguste Comte ne s'est pas réalisée, pas plus que les utopies technologiques de Jules Verne
3- Avec "la crise" qui dure depuis 1974 et donc n'est pas une crise mais une phase de régression des civilisations occidentales tandis que les sociétés émergentes prospèrent , on perd la foi dans le progrès et on régresse sur les identités .
Faute d'avoir des résultats valables dans l'action, on se replie sur les modes de vie, la façon d'être. Ces identités sont politiques et religieuses et tendent au radicalisme. Ainsi, le néo-fascisme qui entrechoque les identités nationales et réchauffe le concept de race, les fondamentalismes religieux dont le "nouvel athéisme" ( Chris Hedges , "When Atheism Becomes Religion: America’s New Fundamentalists", Free Press, 2009) qui opposent leurs croyances sur leurs groupes respectifs, et fabriquant du "eux contre nous" Dans l 'un comme dans l'autre groupe, le niveau de culture et d'éducation est au plus bas, à l'exception de quelques leaders suivis comme des prophètes.
Werleman (" The New Atheist Threat: The Dangerous Rise of Secular Extremists", Dangerous Littke Book) définit le nouvel athéisme comme «l'athéisme évangélique» ou, comme il le souligne ailleurs, «l'anti-théisme évangélique». C'est la conviction que la religion est la principale source de problèmes dans le monde. Werleman insiste, comme Hedges avant lui, sur le fait que les nouveaux athées sont des «fondamentalistes laïcs». Ils font preuve d'un engagement cultuel envers la science, d'une vision simpliste de la religion, d'une position fortement sectaire envers l'islam et la foi en ce qu'ils considèrent comme «l'état séculier américain bienfaisant».
L'un des sujets d’intérêt, pour le sociologue, et d'inquiétude, pour le politique, gît dans la communauté de croyances entre le néo-fascisme et l'athéisme radical en ce qui concerne la désignation d'un bouc émissaire cause du malheur du monde : l'islam et le musulman. (Stephen LeDrew’s "The Evolution of Atheism: The Politics of a Modern Movement ")
Answers & Comments
Les croyants débiles et les religions absurdes, je dirais...
les deux plus grand massacres de populations au nom de l'idéologie venait de société sans Dieu, et récentes : Allemagne et Urss. La 3ème place du podium est à débattre, touours par des société sans Dieu : Cambodge de Polpot, Chine de Mao, ...
La radicalisation athée n'est pas une invention, et peut revenir. La nature humaine est mauvaise, et il y aura toujours des utilisations perverses de tous les idéaux, et il n'y a pas de raison que les athées soient une élite protégée de cette tendance
Ils sont radicalisés, les athées ?
J'ai dû rater les attentats, les meurtres, les manifestations haineuses au cri de "Dieu n'existe pas !
De la philosophie Grecque.
Les athées ne se radicalisent pas , ils sont horrifiés par les conséquences des assassinats perpétrés par les extrémistes religieux .
Satan, car il a semé un esprit d'égarement, sur des esprits faibles et influançables, afin de les entraîner avec lui dans ses ténèbres, car ses jours sont comptés.
Les religions ont une lourde responsabilité!
La bonne question n'est pas "Qui ?" mais "Quoi ?" et ces "quoi" sont plusieurs.
1- la fin de la croyance au progrès.
La connaissance améliore les conditions de vie de l'humanité : des échanges plus faciles, une meilleure information, moins de morts, moins de famines, une meilleure santé… On se rend compte depuis une cinquantaine d'année que le progrès n'est pas tout rose : les maladies iatrogéniques, Tchernobyl, l’avion que les bombardiers de Dresde ou de Coventry, le train les déraillements, la génétique le clonage, le réchauffement climatique.
2-- La prophétie contenue dans la loi des 3 états d'Auguste Comte ne s'est pas réalisée, pas plus que les utopies technologiques de Jules Verne
Cours de philo sur la philosophie d’Auguste Comte
http://luciehenri4.e-monsite.com/pages/la-raison-e...
3- Avec "la crise" qui dure depuis 1974 et donc n'est pas une crise mais une phase de régression des civilisations occidentales tandis que les sociétés émergentes prospèrent , on perd la foi dans le progrès et on régresse sur les identités .
Faute d'avoir des résultats valables dans l'action, on se replie sur les modes de vie, la façon d'être. Ces identités sont politiques et religieuses et tendent au radicalisme. Ainsi, le néo-fascisme qui entrechoque les identités nationales et réchauffe le concept de race, les fondamentalismes religieux dont le "nouvel athéisme" ( Chris Hedges , "When Atheism Becomes Religion: America’s New Fundamentalists", Free Press, 2009) qui opposent leurs croyances sur leurs groupes respectifs, et fabriquant du "eux contre nous" Dans l 'un comme dans l'autre groupe, le niveau de culture et d'éducation est au plus bas, à l'exception de quelques leaders suivis comme des prophètes.
Werleman (" The New Atheist Threat: The Dangerous Rise of Secular Extremists", Dangerous Littke Book) définit le nouvel athéisme comme «l'athéisme évangélique» ou, comme il le souligne ailleurs, «l'anti-théisme évangélique». C'est la conviction que la religion est la principale source de problèmes dans le monde. Werleman insiste, comme Hedges avant lui, sur le fait que les nouveaux athées sont des «fondamentalistes laïcs». Ils font preuve d'un engagement cultuel envers la science, d'une vision simpliste de la religion, d'une position fortement sectaire envers l'islam et la foi en ce qu'ils considèrent comme «l'état séculier américain bienfaisant».
L'un des sujets d’intérêt, pour le sociologue, et d'inquiétude, pour le politique, gît dans la communauté de croyances entre le néo-fascisme et l'athéisme radical en ce qui concerne la désignation d'un bouc émissaire cause du malheur du monde : l'islam et le musulman. (Stephen LeDrew’s "The Evolution of Atheism: The Politics of a Modern Movement ")
C'est quoi cette obsession soudaine, pour les gens qui refusent de croire en un dieu ou quoi que ce soit d'autre de supposé être ' divin ', etc.. ?
Les religions !