Alors, quitte à faire des généralités, je vous invite à prendre en considération un autre paramètre: celui qui consiste à se baser sur l'expérience de la vie et surtout des épreuves de la vie et à en tirer les leçons de ces épreuves de la vie. Et dans ce cas, ce n'est plus une question de sexe, ni même d'âge.
Eh oui: vous avez des gens très aguerris à 25 ans, sur le plan moral; et puis vous avez des gens toujours aussi débiles même après 70 ans.
tout dépend du degré d'attachement, de sentiment d'amour, de la longueur de la vie commune et de la sensibilité individuelle et de la puissance de la souffrance dont il faudra faire un véritable travail de deuil (décès ou pas).
Je pense que, dans des cas bien précis, certains hommes et certaines femmes sont parfois à égalité dans le domaine de la souffrance de l'âme.
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C'est à voir...
Cela dépend du caractère de la personne, pas de son sexe.
Alors, quitte à faire des généralités, je vous invite à prendre en considération un autre paramètre: celui qui consiste à se baser sur l'expérience de la vie et surtout des épreuves de la vie et à en tirer les leçons de ces épreuves de la vie. Et dans ce cas, ce n'est plus une question de sexe, ni même d'âge.
Eh oui: vous avez des gens très aguerris à 25 ans, sur le plan moral; et puis vous avez des gens toujours aussi débiles même après 70 ans.
tout dépend du degré d'attachement, de sentiment d'amour, de la longueur de la vie commune et de la sensibilité individuelle et de la puissance de la souffrance dont il faudra faire un véritable travail de deuil (décès ou pas).
Je pense que, dans des cas bien précis, certains hommes et certaines femmes sont parfois à égalité dans le domaine de la souffrance de l'âme.
on ne refait pas une vie que l'on possède de toute façon
Je ne pense pas que ce soit une question de sexe.. Plutôt de personnalité.
à vcoir
A 100% - si je me réfère aux expériences autour de moi -, les hommes !!!
Ça dépend des circonstances.
A mon avis les hommes sont plus vite "consolés".