Dans mon cas c'était à mon institutrice, une vieille fille qui s'appelait Chantal.
Elle n'était pas française, avec un accent affreux qui rendait ses exposés incompréhensibles.
Coincée dans un corset censé dissimuler un début d'obésité, elle en devenait toute rouge chaque fois qu'elle s'asseyait. Du coup, elle avait beaucoup de mal à se déplacer sans souffler comme un vieux phoque.
Comme je savais où elle habitait, je prenais un malin plaisir à aller sonner chez elle et me sauver en courant !
Rien que de l'imaginer en train de faire des efforts pour décoller ses grosses fesses pour aller ouvrir sa porte : j'étais fou de joie ! Alors j'attendais dix minutes et je recommençais.
Le lendemain matin, je la voyais scruter toute la classe pour essayer de deviner qui avait un regard de coupable, mais comme elle était myope comme une taupe : je ne risquais rien.
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C'est maintenant à vous d'avouer vos frasques, (ex)-petits chenapans !
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Dans les campagnes, certaines personnes âgées voyaient leur pain (souvent des miches) laissé sur le rebord des fenêtres.
Notre jeu favori consistait à les évider et mettre des petits cailloux à la place de la mie.
Je ne faisais pas de blagues, j'étais une petite fille gentille.
Par contre, quand j'étais jeune institutrice, pour asseoir mon autorité sur une bande de garnements, je me déguisais en vieille femme revêche. Je me souviens de quelques élèves dont un attardé, nettement plus vieux que ses camarades mais que ses problèmes orthographiques empêchaient de dépasser le CE2. C'était un cas étrange puisque ça survenait pas crises suivies d'une période où il était normal. Comme il était mauvais comme une teigne et torturait un de ses petits camarades, gamin adorable qui portait une casquette rigolote, j'ai fini par l'expédier dans une école religieuse. Je me suis laissé dire qu'ils n'ont pas réussi à l'amender et qu'il a mené une vie misérable, exilé dans tous les coins du globe pour finir en isolement dans un village perdu.
Il avait quelques copains, tous aussi pourris que lui : un petit gros aux bras atrophiés qui oubliait souvent d'enfiler son pantalon, il est en prison aujourd'hui, un contrefait qu'on a caché dans les tours de Notre-Dame parce qu'il provoquait des accouchements prématurés dès qu'une future maman croisait son regard. Je me souviens aussi d'un autre, tellement stupide qu'on l'envoya au Canada comme trappeur. Il n'a jamais rien capturé et sert de jouet sexuel aux ours du coin.
Ce fut une année difficile avec heureusement quelques compensations comme ce charmant et brillant élève dont je parlais plus haut. Il en a joué des tours pendables à la bande d'attardés !
mettre de l'encre dans les bénitiers histoire de tâcher les gants blanc des punaises de sacristie
Aviez-vous remarqué la vivacité avec laquelle elle se relevait de sa chaise magistrale, malgré sa corpulence ?
Les punaises que j'y installais n'étaient pas étrangères à cet étonnant regain de juvénile sémillance !
C'était le bon temps !
Avec mon frère nous ramassions un crottin de cheval ou un caca de mouton, que nous mettions dans une boite. Ensuite, on faisait un joli paquet cadeau et nous déposions cela sur la route, comme " tombé du camion"
Et nous guettions, jamais trop longtemps puisque 99% des voitures s arretent et ouvre le cadeau.
Evidemment, nous etions mdr à voir la tete des gens quand ils découvraient l etron...
Nous avions aussi l habitude de mettre des patates dans les pots d échappement. Quand les gens démarraient leurs voitures, ça faisait un bruit d explosion quand la patate éclatait. Les gens se précipitaient dehors de leus voitures en se demandant ce qui se passait...
Les blagues de ce genre, c était notre hobby préféré...
Un ami nous faisait rire en provocant un passant en lui faisant des remarques indirectes .
je glissais des peaux de banane sous les pattes d'un pingouin pour le regarder se vautrer dans la gadoue. Il était la risée de la classe car, malgré tous ses efforts, aucune fille ne voulait lui tenir la main. Au bout de quelques mois je cédais à ses supplications et depuis il ne me lâche plus... Et c'était en maternelle cette époque dont je vous parle !
Moi aussi c'était en classe. J'étais très fort pour faire des grimaces, et j'en faisais exprès pour faire rire les autres pendant les cours.
Combien se sont faits punir à cause de moi ? Qu'ils me pardonnent.
C'est quand je mettais du poivre dans le sandwich de votre Chantal : http://www.google.fr/imgres?q=images+grosses+femme...
et quand je dégonflais les pneus de sa copine Truchette : http://www.google.fr/imgres?q=images+grosses+femme...
Sonner aux portes