on va qualifier Bayrou de girouette, tandis qu'un Fillon pour ne parler que de lui est passer du gaullisme social au thatcherisme sans qu'on s'émeuve de ce demi tour droite, droite
La vie politique française est marquée par une constante, celle de l'irrespect et de la calomnie, non gratuite puisqu'elle permet (exemples):
a) vis à vis de Bayrou, de le dézinguer en deux semaines avant le premier tour 2012, parce qu'il a annoncé son intention de faire un référendum sur la moralisation de la vie publique. Tous les autres politiques, mais surtout les sarkosystes et le FN lui sont tombés dessus "à bras raccourcis", avec l'aide infecte des Gattegno, Giesbert et autres, qui d'un coup, se sont vilainement moqués de lui... Il est passé de 19/20% à moins de 10%...
b) vis à vis de Juppé tout récemment, de le flinguer en le traitant quasiment d'islamiste. Le "Ali Juppé" vient directement de sarko, et le Fn lui a suçé la roue, comme on dit dans la pédale...
Bayrou est un homme qui depuis 2002 dit la même chose. Lui ne fluctue pas, sur l'aspect social des réformes, sur la propriété des biens d'Etat (En tres autres, pour les autoroutes, dont il a seul combattu la privatisation indigne), sur l'élévation nécessaire des moyens et des critères d'éducation...
Mais en effet, les benêts ne peuvent pas comprendre qu'un homme puisse privilégier le programme et les solutions à l'appartenance. Tant qu'on aura 25% des français qui gueulent "Nicolas ! Nicolas !" ou "Marine viiiite !" On aura ce genre de bruits de chiottes qui détruisent, en général, les gens honnêtes et droits. (Les malhonnêtes voient tout de suite le piège et négocient immédiatement avec les chefs des langues de putes)
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on va qualifier Bayrou de girouette, tandis qu'un Fillon pour ne parler que de lui est passer du gaullisme social au thatcherisme sans qu'on s'émeuve de ce demi tour droite, droite
Cela arrange les imbéciles de droite.
Cela leur évite d'avoir à réfuter ses idées qui sont pourtant de centre-droit
La critique vient souvent de sarkozistes qui du jour au lendemain ont retourné leur veste pour devenir fillonistes.
La vie politique française est marquée par une constante, celle de l'irrespect et de la calomnie, non gratuite puisqu'elle permet (exemples):
a) vis à vis de Bayrou, de le dézinguer en deux semaines avant le premier tour 2012, parce qu'il a annoncé son intention de faire un référendum sur la moralisation de la vie publique. Tous les autres politiques, mais surtout les sarkosystes et le FN lui sont tombés dessus "à bras raccourcis", avec l'aide infecte des Gattegno, Giesbert et autres, qui d'un coup, se sont vilainement moqués de lui... Il est passé de 19/20% à moins de 10%...
b) vis à vis de Juppé tout récemment, de le flinguer en le traitant quasiment d'islamiste. Le "Ali Juppé" vient directement de sarko, et le Fn lui a suçé la roue, comme on dit dans la pédale...
Bayrou est un homme qui depuis 2002 dit la même chose. Lui ne fluctue pas, sur l'aspect social des réformes, sur la propriété des biens d'Etat (En tres autres, pour les autoroutes, dont il a seul combattu la privatisation indigne), sur l'élévation nécessaire des moyens et des critères d'éducation...
Mais en effet, les benêts ne peuvent pas comprendre qu'un homme puisse privilégier le programme et les solutions à l'appartenance. Tant qu'on aura 25% des français qui gueulent "Nicolas ! Nicolas !" ou "Marine viiiite !" On aura ce genre de bruits de chiottes qui détruisent, en général, les gens honnêtes et droits. (Les malhonnêtes voient tout de suite le piège et négocient immédiatement avec les chefs des langues de putes)