Je me suis toujours demandée ce que le papillon avait comme souvenirs de son ancienne vie de chenille, puis de sa transformation en chrysalide ? Il arrive tout léger et poudré un jour de printemps, tout fini et prêt à s'envoler...
Et quand un papillon voit une chenille, y reconnait-il quelque chose de lui, même confusément ?
Et la chenille, arrive t'elle à concevoir qu'un jour elle aussi s'envolera pour butiner de fleur en fleurs ?
je suis contente de te relire enfin ça fait longtemps -
c'est bien connu les papillons sont des têtes brûlées - comme le papillon de nuit qui invariablement ira vers la flamme et peu importe qu'elle soit incandescente ou électrique il ne sait pas qu'il peut se brûler les ailes - tout comme Icard qui s'élança vers le ciel
MERCI pour tes si JOLIS vers plein de tendresse pour ce malheureux petit étourdi de papillon
j'en connais un autre qui rêve de grandeur - d'espace... et de fleurs
Answers & Comments
Petit Papillon !...
Naître avec le printemps , mourir avec les roses ,
Sur l'aile du Zéphyr nager dans un ciel pur ,
Balancé sur le sein des fleurs à peine écloses ,
S'enivrer de parfums de lumières et d'azur ,
Secouant , jeune encore , la poudre de ses ailes
S'envoler comme un souffle aux voûtes éternelles ,
Voilà du papillon le destin enchanté !
Il ressemble au désir qui jamais ne se pose ,
Et sans se satisfaire , effleurant toute chose ,
Retourne enfin au ciel chercher la volupté !
la belle lampe éclaire
mais la fée électrique te cuit
petit papillon, tête brûlée
préfère plutôt le soleil
ou des éclairs de lune
pour t’envoler vers le ciel.
Je me suis toujours demandée ce que le papillon avait comme souvenirs de son ancienne vie de chenille, puis de sa transformation en chrysalide ? Il arrive tout léger et poudré un jour de printemps, tout fini et prêt à s'envoler...
Et quand un papillon voit une chenille, y reconnait-il quelque chose de lui, même confusément ?
Et la chenille, arrive t'elle à concevoir qu'un jour elle aussi s'envolera pour butiner de fleur en fleurs ?
on ne vas le bruler ton papillon surtout que c'est grâce à la lumière
qu'ils se sont accrochés pour péreniser l'espèce
https://www.youtube.com/watch?v=jqsehU44adQ
et la nuit
bien
bonjour Carina
je suis contente de te relire enfin ça fait longtemps -
c'est bien connu les papillons sont des têtes brûlées - comme le papillon de nuit qui invariablement ira vers la flamme et peu importe qu'elle soit incandescente ou électrique il ne sait pas qu'il peut se brûler les ailes - tout comme Icard qui s'élança vers le ciel
MERCI pour tes si JOLIS vers plein de tendresse pour ce malheureux petit étourdi de papillon
j'en connais un autre qui rêve de grandeur - d'espace... et de fleurs
http://aws-cf.imdoc.fr/prod/photos/0/2/5/3765025/1...
le rêve d'un Papillon
Donc il est venu le temps de la métamorphose,
Le temps où elle va revêtir son habit de bal.
Ma pauvre chenille qui se traînait sous toute chose
Tisse un lien sous une branche d’un arbre du val
S’enfermant dans une prison de soie
Et respirant à peine, il lui faut tant de courage
Immobile et sans défense, livrée au vent et au froid
Pour devenir un merveilleux papillon libéré de sa cage
Conscient du charme qu’il dégage
En déployant ses ailes pareilles à des pétales
Il s’enorgueillit d’un tel héritage..
Le voilà prêt à suivre le chemin ancestral !
À conquérir l’azur des cieux, à goûter au miel des fleurs
À danser au rythme du vent dans les champs ensoleillés…
Dans sa course endiablée, il oublie pour quelques heures
Que sa vie est éphémère.. Et il jouit de l’instant, émerveillé…
Ô porteur de baisers à l’orchidée consentante
Que la tendresse pour un moment les unisse
Dans l’ivresse de cette passion envoûtante
Et le plonge dans la profondeur de ses abysses
Les rouges coquelicots lui tendent leurs corolles
L’humble anthémis au cœur jaune, l’invite
Par des mots informulés, point besoin de paroles
Grisé par tant d’amour sans aucune limite…
Il fait sa propre moisson. Ô source de joie
Pour les regards qui suivent son jeune corps infatigable,
Ô jardins, vous les vieux témoins de ses tournois
Rendez hommage à cet être ineffable
À ce roi sans couronne qui exulte
Enivré par tant de liberté, insouciant du lendemain
Pardonnez lui, hélas, ce grand tumulte
tant de beauté s’offre à lui, pour rassasier sa grande faim
Et la nuit venue, n’allumez pas vos chandelles
Il succomberait à l’attrait de leurs flammes
En répondant à leur silencieux appel
Inexorablement attiré, il y perdrait jusqu’à son âme
Copyright © Riha B.e.B.
bis repetita placent
je te souhaite une très bonne fin de week end chère Carina bises