Vous vous retrouvez face à..." Madame Conscience".
L'inviteriez vous à dialoguer en Poésie ?
Bonne inspiration.
L'invitant à entrer
et s'assoir à ma table
nous partageons un thé
moment innéfable...
Puis se tournant vers moi
elle me regarde en face
me laissant tout émoi
mais mes doutes s'effacent...
Car de sa bienveillance
émane une douceur
me redonnant confiance
en mes propres valeurs...
Quatre mots échangés
dans la torpeur du soir
dans la glace un reflet...
Ce n'était qu'un miroir...
Lou...
Bises, Iloa...
Bonsoir .Je dis:llola:
je veux bien t'écouter,
Mais tu m'as déjà tant parlé.
Tu amènes avec toi le remords
Quand je crois qu'en moi tout dort
Au moment où j'ai tant de joie,
Froide,sévère tu arrives jusqu'à moi.
Tu n'as ni coeur,ni âme
Toi qui juges ,qui condamnes
Tu pèses,tu soupèses
Calculant sans cesse,
Évoquant la sagesse.
Je veux bien t'écouter conscience
Tu parles avec tant de science....
Main invisible qui me retient
Du soir au matin
Tu glaces en mon coeur l'ivresse
Il ne reste plus que tristesse.
Et tu cognes ma tête très fort
Toujours ,toujours et encore
Endormant,faisant taire
Les élans les plus chers
Plongeant mes impulsions les plus pures
Dans un enfer infini et obscur.
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L'invitant à entrer
et s'assoir à ma table
nous partageons un thé
moment innéfable...
Puis se tournant vers moi
elle me regarde en face
me laissant tout émoi
mais mes doutes s'effacent...
Car de sa bienveillance
émane une douceur
me redonnant confiance
en mes propres valeurs...
Quatre mots échangés
dans la torpeur du soir
dans la glace un reflet...
Ce n'était qu'un miroir...
Lou...
Bises, Iloa...
Bonsoir .Je dis:llola:
je veux bien t'écouter,
Mais tu m'as déjà tant parlé.
Tu amènes avec toi le remords
Quand je crois qu'en moi tout dort
Au moment où j'ai tant de joie,
Froide,sévère tu arrives jusqu'à moi.
Tu n'as ni coeur,ni âme
Toi qui juges ,qui condamnes
Tu pèses,tu soupèses
Calculant sans cesse,
Évoquant la sagesse.
Je veux bien t'écouter conscience
Tu parles avec tant de science....
Main invisible qui me retient
Du soir au matin
Tu glaces en mon coeur l'ivresse
Il ne reste plus que tristesse.
Et tu cognes ma tête très fort
Toujours ,toujours et encore
Endormant,faisant taire
Les élans les plus chers
Plongeant mes impulsions les plus pures
Dans un enfer infini et obscur.