Le terme "béké" désigne des grands patrons antillais, ayant hérité de leur entreprise et de leur fortune, qui remontent aux temps des colonies, voir de l'esclavagisme.
En tant que tel, le terme "béké" désigne symboliquement non seulement la classe sociale supérieure, mais aussi la partie de cette classe sociale qui "s'auto-reproduit" sans aucun ascenseur social.
Aussi, les intérêts "de classe" des Békés, c'est que le Capital rapporte le plus haut taux de revenus, au détriment du Travail.
En terme de lutte des classes, les Békés sont dans un camp, les travailleurs dans l'autre.
Ce ne sont pas des "salauds", ce sont seulement des gens dont l'intérêt est opposé à celui des travailleurs. Ce ne sont pas des "salauds", mais il serait naïf pour autant de penser qu'ils agissent pour le bien des travailleurs, c'est à dire au détriment de leurs propres intérêts.
Maintenant, le résumé simpliste d'un discours marxiste, expliquant qu'en terme de lutte des classes, les békés représentent la classe des exploitants, et les travailleurs guadeloupéens la classe des exploités, c'est effectivement "le patron est un salaud".
Ce n'est pas un salaud, c'est un exploiteur parceque la société est faite comme ça. N'empêche qu'un exploiteur, c'est rarement un mec que j'ai envie d'inviter à dîner.
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Le terme "béké" désigne des grands patrons antillais, ayant hérité de leur entreprise et de leur fortune, qui remontent aux temps des colonies, voir de l'esclavagisme.
En tant que tel, le terme "béké" désigne symboliquement non seulement la classe sociale supérieure, mais aussi la partie de cette classe sociale qui "s'auto-reproduit" sans aucun ascenseur social.
Aussi, les intérêts "de classe" des Békés, c'est que le Capital rapporte le plus haut taux de revenus, au détriment du Travail.
En terme de lutte des classes, les Békés sont dans un camp, les travailleurs dans l'autre.
Ce ne sont pas des "salauds", ce sont seulement des gens dont l'intérêt est opposé à celui des travailleurs. Ce ne sont pas des "salauds", mais il serait naïf pour autant de penser qu'ils agissent pour le bien des travailleurs, c'est à dire au détriment de leurs propres intérêts.
Maintenant, le résumé simpliste d'un discours marxiste, expliquant qu'en terme de lutte des classes, les békés représentent la classe des exploitants, et les travailleurs guadeloupéens la classe des exploités, c'est effectivement "le patron est un salaud".
Ce n'est pas un salaud, c'est un exploiteur parceque la société est faite comme ça. N'empêche qu'un exploiteur, c'est rarement un mec que j'ai envie d'inviter à dîner.
Salauds ? Non... mais ...
...ils sont comme les grands patrons de France et de Navarre : ils tiennent le pouvoir, le patrimoine et l'argent.
Reste les miettes pour les "autres".
Pour moi les békés sont des gens qui mériteraient le respect de tous les antillais, parce que tout simplement et malgré tout ce que ces attardés racontent ce sont eux qui ont permis à ces îles de devenir "vivables"
Alors après on peut leur reprocher toute la misère des antilles ...
Maintenant ils passent pour des pestiférés !!!
Ils ont toute ma reconnaissance en tout cas !!
Tu es vraiment odieux !
je pense que le salaud c'est toi
C'est en effet la propagande (raciste) des nervis du LKP qui veulent nous faire croire, dans leur patois, que "Gwada cé taieux". Donnons leur l'indépendance : dans deux ou trois ans, à part les crabes de terre, ils n'auront plus rien à manger.
des exploiteurs comme leurs ancêtres ! élevés dans le mépris de celui qui n'a pas la même couleur de peau: le nègre quoi! mot encore utilisé là bas! si quelque bonne lois avaient été mises en place ( comme avec l'antisémitisme) nous n'en serions pas là ! de plus les avantages économiques énormes de ces békés ( mais on en parle pas...)doivent être répercutés sur les salaires et le coup de la vie! ce qui est loin d'être le cas! les Antillais ne sont pas plus paresseux que les béké mais ils ne sont pas du tout motivés par les salaires et comme disait une guadeloupéenne dans les bureaux climatisés il n'y a que des blancs.... c'est ce que l'on observe dans les pays en voie de développement
les chefs sont dans la climatisation et regardent la piétaille derrière des vitres! c'est cela le mépris et l'humiliation qui va avec et l'on sait qu'on humilie pas impunément!
en tout cas de bon profiteur et se comportant comme des colons c'est hélas vrai. Comme les colons français avant la décolonisation et en plus avec l'ump sur place
je ne connais ces gens !