Verified answer

Et la neutralité ? pas dans le sens de se mettre au gris, mais de transcender cette notion de bien-mal pour entrer dans le juste. Etre juste n'est pas mépriser ou encenser, juste considérer les choses pour ce qu'elles sont...valides pour un temps, avec des causes et des réactivités.

En même temps si pour ne pas être conne une morale s'abstient de discriminer, de juger de ce qui est bien et de ce qui est mal, de louanger ou d'exclure.... peut-on encore parler de morale ?

Et la raison, si tel est selon toi le salut, qui ne serait pas consciente de son ambivalence et de sa duplicité ( sans pour autant qu'elle soit pathologique)... serait-elle vraiment raisonnable ?

Ils vivent dans leur petit monde parfait loin de toute realite.

Ils se croient meilleurs que les autres,c'est de la que vient leur mepris des gens qu'ils pensent imparfaits.

Qu'ils sortent de leur bulle, ils verront que ceux qu'ils meprisent valent mieux qu'eux.

Oui. La différence ne se fait pas sur "morale ou non" mais sur "absolutiste ou non".

Les moralistes relativistes (oui, oui, ça existe) focalisent leur morale

sur eux-mêmes, ils n'en font pas un "outil d'absolu" avec lequel ils comptent

dicter aux autres leur conduites.

Ce qui est en revanche le cas des moralistes absolutistes.

Et même de "non-moralistes absolutistes" qui font, par exemple, de la Raison

(leur raison....) un absolu auquel ils veulent conformer tout le monde.

Ton expression "conne moralistique" montre bien tout le mépris que le bon

"non moraliste" que tu es à pour les "moralistes", par exemple...

Évidemment.....comme le croyant rejette le mécréant .

Ce sont des antagonismes .

C 'est quoi qui te surprends .?

Ne fais-tu pas la réciproque ?

neutre

Les moralistes sont les premiers à ne pas respecter toute les morales.

Mépriser c'est juger inférieurs les autres. Se croire au-dessus de tout.

Le mépris n'a jamais permis d'éviter crimes et folies.

Avant d'accuser tes interlocuteurs, ceux qui pensent autrement que toi, as-tu un instant envisagé qu'ils pouvaient aligner leur mode de communication sur le tien ?

Ils te parlent comme tu leur parles. Si tu ressens ça comme du mépris, il y a de bonnes chances que ta contribution ait été méprisante. La réciprocité que ça se nomme. Si tu ne sais pas ce que ça veut dire, consulte Spinoza.

Finalement, peut-être devrais-tu examiner ton mode de contribution avant de juger (démarche "moralistique") la prose d'autrui ?

s'ils ont de l'experience de vie et l'info qu,il vous donne est utile et vous sert à qq chose c'est bien. Aussi parfois ils peuvent vous donner des bons conseils et vous les percevez comme moralisateurs mais ils ne le sont pas. Ensuite certaines personnes se croient au dessus de tout et méprisent les autres en leur donnant des leçons, ça dépend de chaque situation.

1)non, ceux qui rejettent la morale des moralistes sont méprisée par des moralistes par défintion à cause de leur conne-moralistique !!!

2)biologiquement, on commence à mépriser pour augmenter ses chances à passer ses gènes à la prochaine génération... alors quand on méprise quelqu'un ou quelque chose, il faut éviter d'y avoir des contacts... l'absence de contact peut faire disparaître le mépris... sinon il faut éliminer ce qu'on mépris !!!!

la conclusion : les moralistes ont une morale avec laquelle ils VEULENT vivre ensemble en paix, ils n'ont pas une morale avec laquelle on PEUT vivre ensemble en paix, et pour pouvoir vivre en paix ils doivent éliminer chaque chose ou personne avec lequel ils ne veulent pas vivre ensemble... alors ils sont moins prêt à négocier, ils sont moins altruïste en conséquence...

bonne journée

bonne journée