C'est à peine l'aurore et Je tombe de plûme Mon amour dort encore du sommeil de l'Enclume Je la laisse a ces rêves oû je ne suis pas Marlon Brando l'enléve qu'est ce que je foutrais là D Sur un chevage sauvage ,ils s'en vont ridicules Dehors ya un orage , ils sont mouillés c'est nul RENAUD la pêche à la ligne..../
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J'en ai oublié pas mal par rapport aux dizaines que j'ai apprises mais j'en connais encore quelques-unes.
Je récitais les fables quand j'étais enfant .
A part les poèmes que j'ai écrit, non pas vraiment
Bonne soirée
Orion
Oui et beaucoup même !
L'Abatros et bien d'autres de Baudelaire, plusieurs de Paul Eluard, Aragon, Musset, La Fontaine, Rimbaud....bon je ne vais pas m'arrêter là :-),
Hugo ...dont celle que je préfère : Demain dès l'Aube
Verlaine : Il pleure dans mon coeur.... et bien d'autres dont d’innombrables dans ma langue....
Malheureusement, surtout celles de Maurice Carême.
Rapport aux lavages de cerveau, dans le temps, à l'école.
Bonjour Yellowstone
oui certaines mieux que d'autres mais enfin j'en connais pas mal..
je vais essayer de t'en écrire une - qui ne sera pas copiée/collée mais écrite comme elle me vient en mémoire
elle est de Baudelaire - le titre est "Harmonie du soir""
voici venir les temps où vibrant sur sa tige
chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir
les sons et les parfums tournent dans l'air d soir
valse mélancolique et langoureux vertige
chaque fleur s'évapore ainsi qu'un ensencoir
le violon frémit comme un coeur qu'on afflige
valse mélancolique et langoureux vertige
le ciel est triste et beau comme un grand reposoir
le violon frémit comme un coeur qu'on afflige
un coeur tendre qui hait le néant vaste et noir
le ciel est triste et beau comm eun grand reposoir
le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige
un coeur tendre qui hait le néant vaste et noir
du passé lumineux recueille tout vestige
le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige
ton souvenir en moi luit comme un ostensoir
je ne me souvient plus très bien de la ponctuation
passe de joyeuses fêtes
Un hanneton volage
Près d'une pie passa
Mais la pie fut sage
Et ne l'happa pas
Moralité :
Quel bel appât que la pie n'happa pas !
C'est à peine l'aurore et Je tombe de plûme Mon amour dort encore du sommeil de l'Enclume Je la laisse a ces rêves oû je ne suis pas Marlon Brando l'enléve qu'est ce que je foutrais là D Sur un chevage sauvage ,ils s'en vont ridicules Dehors ya un orage , ils sont mouillés c'est nul RENAUD la pêche à la ligne..../
Nn
La Fontaine