Ce n'est vraiment pas compliqué (en théorie) il suffit de donner d'abord un traitement à effet rapide pour soulager immédiatement, puis avant que cet effet cesse, un traitement à action prolongée, qu'on renouvellera avant que son effet cesse.

Vous avez les graphiques qui vous donnent toutes les indications pour garder une concentration suffisante sans jamais atteindre la dose toxique, ni descendre en dessous du minimum nécessaire.

Faites des graphiques pour voir le timing.

La notion de seuil de toxicité est très relative.

Dans l'absolu, il s'agit du niveau (volume instantané et/ou différé) à partir duquel le produit sera nocif pour l'organisme ; en général, il a été déterminé par les études en laboratoire et affiné par les essais cliniques.

Dans la pratique, ce seuil est variable selon les individus et en faire une notion générale est une erreur qui conduit régulièrement à des "accidents".

Chaque individu est un "essai clinique" à lui tout seul : valeurs biométriques, dosages hormonaux, antécédents génétiques et/ou personnels, hérédité.

En vrac, je citerai : allergies (connues ou spontanées), réactions contraires à des médicaments (exple : le Maxiton agissait comme un somnifère chez certains individus... lol !), amplification des effets (une anesthésie se conclue par un réveil au bout de 4 jours... c'est les médecins qui se font du mouron et la famille qui les réconfortent... elle connaît leur lascar !), etc, etc.

Je ne parlerai même pas de ces médicaments "anti-douleur" qui agissent rapidement, sont même en vente libre, et font des ravages irréversibles à terme.

Il me semble que la forme galénique ne doit pas être l'argument premier : l'interaction molécule/patient doit rester prioritaire, en termes de "forme posologique", action/réaction primaire.

morphine

S'il vous plait, si ce n'est pas pour répondre a la question, aller vous en . Merci

Demander au médecin traitant.

Pour quelle sorte de douleur ? La morphine !

Pas mal, la présentation de Windows 10 !

Je rigole amèrement de leur échelle de la douleur dans les hôpitaux. Toutes les personnes réagissent différemment à la douleur. Un patient va dire 4 sur leur échelle, un autre dira 8, et qu'est-ce qu'on lui donne "doliprane 500" Ils ne connaissent que le "doliprane 500" pour soulager la douleur dans les hôpitaux. Une fois, je souffrais le martyre suite à une grave opération (et on me dit très résistante à la douleur), on me demande un chiffre de 1 à 10, je réponds que 10 n'était pas suffisant, il fallait au moins 14, et on me donne..... "1 doliprane 500" le 2ème dans 5 heures !! Et dans tous les hôpitaux il y a un service anti-douleur ; à quoi sert-il ??

Tu peux l'achever d'un coup de sabre sur la nuque en sectionnant nettement et proprement pendant qu'il s'assoupit yeux fermés sur son fauteuil.