C'est facile. Et ce n'est pas le sourire. N'importe qui peut sourire n'importe quand. Ça ne veut rien dire.
Non. Ce qui prouve la profondeur d'un amour ce sont les actes :
1/ Quelqu'un qui t'aime préférera toujours ton bien au sien. Il se sacrifiera pour toi sans hésiter (ou presque).
2/ Quelqu'un qui t'aime aura un mal fou à te refuser quoi que ce soit. Il te donnera même ce que tu ne lui demande pas. Parce qu'au fond, il ne fait pas de différence entre ce qui est à lui et ce qui est à toi. Comment le pourrait-il, puisqu'il t'aime ? Son égo s'efface devant toi.
3/ Quelqu'un qui t'aime te sera loyal dans le temps. Un amour construit est difficile à ébranler. Dans les difficultés, il sera le dernier à t'abandonner, si ce n'est pas toi qui l'abandonne.
Voilà comment on reconnait l'amour véritable.
Comment je le sais ? Parce que je l'ai vécu en tant qu'homme amoureux. Ce qui suit n'est qu'un exemple parmi d'autres :
J'aimais une fille. Elle était plutôt pauvre, travaillait dur, mais avait des projets admirables. Même si ce n'était pas mes oignons, je ne supportais pas que sa vie ne soit pas aussi confortable que la mienne l'avait été, qu'elle soit obligée de sacrifier ses passions et ses loisirs au boulot, tout ça pour des questions d'argent. Ça me révoltait. C'était sa vie, mais ça me révoltait profondément.
Alors j'ai fait le flambeur. J'ai commencé à lui payer quelques cours en cachette, pour qu'elle puisse continuer à apprendre des trucs qui lui tenaient à cœur.
Pendant ce temps, elle me piétinait la gueule comme c'est pas permis, en me traitant comme si j'étais un étron vert venu d'une autre galaxie. J'aurais dû la haïr de me traiter aussi mal, moi qui ne lui avais jamais rien fait et qui, au contraire, tentait de lui rendre service (ce que certes, elle ignorait). J'aurais peut-être dû. Mais ce n'était pas en mon pouvoir.
J'appris quelques temps plus tard qu'elle allait arrêter complètement ses cours (ceux dont j'avais pris sur moi de payer quelques séances) "pour économiser".
Ça m'a submergé de tristesse. J'étais révolté. Alors j'ai fait ce qu'aucun homme sensé n'aurait fait. J'ai tendu le doigt pour le remettre sciemment dans l'engrenage. Je me suis carrément proposé pour lui payer tous ses cours jusqu'à la fin de l'année, pour qu'elle n'ait pas besoin d'arrêter. Il m'était impossible d'assister à ça sans rien faire.
Les personnes au courant de mon initiative n'approuvaient pas. C'est peu de le dire ! Mais je n'en avais rien à foutre. Tout ce qui m'importait, c'était de lui épargner un malheur. Ouais. Je voulais la soutenir, la femme dont les silences me poignardaient jour après jour, depuis des mois et des saisons.
Tout le monde a dû me prendre pour un grand fou, un malade.
Mais c'était juste une manifestation d'amour, de souci de l'autre, de refus de le laisser passer sa chance.
Je ne dis pas que j'ai eu raison. J'avais tort. Et c'est là le plus intéressant : j'en avais pleinement conscience.
Ce que je faisais était exagéré, intrusif, ... C'était "trop". Mais je ressentais viscéralement que je ne pouvais pas ne pas le faire. J'étais poussé par une force qui me dépassait et qui écrasait tout.
Elle a dû me prendre pour un fou, pour un fou dangereux. A moins qu'elle n'ait été scandalisée par ma démarche. Je ne pense pas qu'elle ait compris ce qui se jouait. Elle ne comprendra jamais d'ailleurs ...
J'ai de la chance qu'elle ait refusé. Comme me l'a dit une amie (que je salue au passage, c'est une chic fille), elle aurait pu en profiter. Elle aurait pu faire ce qu'elle voulait de moi. J'étais complètement en son pouvoir. Elle aura au moins eu la décence de ne pas abuser de ma faiblesse à son égard, même si j'aurais certes, préféré qu'elle fasse preuve d'un peu plus d'humanité et de bienveillance à mon égard. C'est déjà ça !
C'est ça l'amour. On se met au pouvoir d'un étranger ou d'une étrangère, dont au fond on ne sait rien. Pour le meilleur ou pour le pire. Pour ma part, j'ai échappé au meilleur, mais également au pire. Je devrais trinquer pour fêter ça (je vais le faire d'ailleurs, et dès ce soir !).
Alors regarde les gens :
Si un type fait n'importe quoi, s'il agit en dépit du bon sens et de son honneur, que ce soit pour sa femme, sa fille, son petit fils, ou son meilleur ami, c'est probablement d'abord et avant tout parce qu'il les aime profondément.
Il te sourit même si tu ne lui sourit pas. Il t'appelle. Si tu lui demandes quelque chose, Il te le donne et souris un peu. Il te cherche des yeux. Des fois, il est timide envers toi et est nerveux quand tu parles. Il essaye de se faire remarquer PAR TOI...Il ne renonce pas à toi facilement.
Answers & Comments
tu peux pas le savoir c'est dans sa tête demande tu va le savoir
C'est facile. Et ce n'est pas le sourire. N'importe qui peut sourire n'importe quand. Ça ne veut rien dire.
Non. Ce qui prouve la profondeur d'un amour ce sont les actes :
1/ Quelqu'un qui t'aime préférera toujours ton bien au sien. Il se sacrifiera pour toi sans hésiter (ou presque).
2/ Quelqu'un qui t'aime aura un mal fou à te refuser quoi que ce soit. Il te donnera même ce que tu ne lui demande pas. Parce qu'au fond, il ne fait pas de différence entre ce qui est à lui et ce qui est à toi. Comment le pourrait-il, puisqu'il t'aime ? Son égo s'efface devant toi.
3/ Quelqu'un qui t'aime te sera loyal dans le temps. Un amour construit est difficile à ébranler. Dans les difficultés, il sera le dernier à t'abandonner, si ce n'est pas toi qui l'abandonne.
Voilà comment on reconnait l'amour véritable.
Comment je le sais ? Parce que je l'ai vécu en tant qu'homme amoureux. Ce qui suit n'est qu'un exemple parmi d'autres :
J'aimais une fille. Elle était plutôt pauvre, travaillait dur, mais avait des projets admirables. Même si ce n'était pas mes oignons, je ne supportais pas que sa vie ne soit pas aussi confortable que la mienne l'avait été, qu'elle soit obligée de sacrifier ses passions et ses loisirs au boulot, tout ça pour des questions d'argent. Ça me révoltait. C'était sa vie, mais ça me révoltait profondément.
Alors j'ai fait le flambeur. J'ai commencé à lui payer quelques cours en cachette, pour qu'elle puisse continuer à apprendre des trucs qui lui tenaient à cœur.
Pendant ce temps, elle me piétinait la gueule comme c'est pas permis, en me traitant comme si j'étais un étron vert venu d'une autre galaxie. J'aurais dû la haïr de me traiter aussi mal, moi qui ne lui avais jamais rien fait et qui, au contraire, tentait de lui rendre service (ce que certes, elle ignorait). J'aurais peut-être dû. Mais ce n'était pas en mon pouvoir.
J'appris quelques temps plus tard qu'elle allait arrêter complètement ses cours (ceux dont j'avais pris sur moi de payer quelques séances) "pour économiser".
Ça m'a submergé de tristesse. J'étais révolté. Alors j'ai fait ce qu'aucun homme sensé n'aurait fait. J'ai tendu le doigt pour le remettre sciemment dans l'engrenage. Je me suis carrément proposé pour lui payer tous ses cours jusqu'à la fin de l'année, pour qu'elle n'ait pas besoin d'arrêter. Il m'était impossible d'assister à ça sans rien faire.
Les personnes au courant de mon initiative n'approuvaient pas. C'est peu de le dire ! Mais je n'en avais rien à foutre. Tout ce qui m'importait, c'était de lui épargner un malheur. Ouais. Je voulais la soutenir, la femme dont les silences me poignardaient jour après jour, depuis des mois et des saisons.
Tout le monde a dû me prendre pour un grand fou, un malade.
Mais c'était juste une manifestation d'amour, de souci de l'autre, de refus de le laisser passer sa chance.
Je ne dis pas que j'ai eu raison. J'avais tort. Et c'est là le plus intéressant : j'en avais pleinement conscience.
Ce que je faisais était exagéré, intrusif, ... C'était "trop". Mais je ressentais viscéralement que je ne pouvais pas ne pas le faire. J'étais poussé par une force qui me dépassait et qui écrasait tout.
Elle a dû me prendre pour un fou, pour un fou dangereux. A moins qu'elle n'ait été scandalisée par ma démarche. Je ne pense pas qu'elle ait compris ce qui se jouait. Elle ne comprendra jamais d'ailleurs ...
J'ai de la chance qu'elle ait refusé. Comme me l'a dit une amie (que je salue au passage, c'est une chic fille), elle aurait pu en profiter. Elle aurait pu faire ce qu'elle voulait de moi. J'étais complètement en son pouvoir. Elle aura au moins eu la décence de ne pas abuser de ma faiblesse à son égard, même si j'aurais certes, préféré qu'elle fasse preuve d'un peu plus d'humanité et de bienveillance à mon égard. C'est déjà ça !
C'est ça l'amour. On se met au pouvoir d'un étranger ou d'une étrangère, dont au fond on ne sait rien. Pour le meilleur ou pour le pire. Pour ma part, j'ai échappé au meilleur, mais également au pire. Je devrais trinquer pour fêter ça (je vais le faire d'ailleurs, et dès ce soir !).
Alors regarde les gens :
Si un type fait n'importe quoi, s'il agit en dépit du bon sens et de son honneur, que ce soit pour sa femme, sa fille, son petit fils, ou son meilleur ami, c'est probablement d'abord et avant tout parce qu'il les aime profondément.
peu jamais vraiment savoir !!
Envois moi tes coordonnées de CB au 60 061.
Il te sourit même si tu ne lui sourit pas. Il t'appelle. Si tu lui demandes quelque chose, Il te le donne et souris un peu. Il te cherche des yeux. Des fois, il est timide envers toi et est nerveux quand tu parles. Il essaye de se faire remarquer PAR TOI...Il ne renonce pas à toi facilement.
Ça se devine par le comportement qu' il a avec toi , observe le et analyse objectivement la situation et tu sauras bien .
tu lui demandes
A toi après d'être perspicace
Il faut faire semblant de le tromper avec un autre ou une autre.
si elle accepte de t'accompagner en soirée dodo la saumure, c'est tout bon
Lui demander