Sans nouvelles de ma dulcinée,
Mes jours passent comme des années,
Je m’éveille et m’endors au plus tôt,
Dans l’espoir d'hâter mes journées.
Mes cernes se sont creusées,
Et je me traine comme un sot,
En vain, j’erre dans les couloirs,
Plus triste qu’en un mouroir.
.
Elle n’a jamais été bien intéressée.
Mais je m’étais fait un devoir,
De lui montrer mes qualités.
Hélas, il y a de cela huit soirs,
Je lui ai écrit avec légèreté.
J’avais peur et j’étais pressé,
Aussi me suis-je égaré.
.
Quand reverrai-je la lueur du jour ?
Si je ne fais plus mes nuits.
Quand reverrai-je mon amour ?
Si désormais elle me fuit.
Que n’ai-je voulu ne rester qu’un ami ?
Serai-je auprès d’elle aujourd’hui ?
.
Comment meubler la carence ?
Et ne point dépérir,
Retrouver ma vaillance,
Et le droit de sourire.
.
Je n’ai plus nul moulin à conquérir,
Depuis que la fée électricité,
Les a tous remplacés.
Mon idéal doit dépérir,
Faute d’avoir sur me faire aimer,
De ma gente Dulcinée.
Update:Merci à Céleste et Flocon, qui m'ont donné à réfléchir, chacun à leur façon.
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Answers & Comments
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Les inclinations naissantes ont des charmes inexplicables.
Elle flotte, elle hésite : en un mot, elle est femme.
Mais je vous ferai voir qu'en une âme bien faite,
Le mépris suit de près la faveur qu'on rejette.
Jamais je n'aurai cette faiblesse extrême
De vouloir posséder un cœur malgré lui-même.
Si c'est votre façon d'aimer, je vous prie de me haïr.
cool life bro'
Bonsoir @Julian,
en se fiant à des sources sûres.
Le poème est de qui ?
je valide
bouge ton c-ul au lieu de te lamenter ici