Combler le vide oppressant lié à la disparition d'un être aimé et admiré ?

Sans nouvelles de ma dulcinée,

Mes jours passent comme des années,

Je m’éveille et m’endors au plus tôt,

Dans l’espoir d'hâter mes journées.

Mes cernes se sont creusées,

Et je me traine comme un sot,

En vain, j’erre dans les couloirs,

Plus triste qu’en un mouroir.

.

Elle n’a jamais été bien intéressée.

Mais je m’étais fait un devoir,

De lui montrer mes qualités.

Hélas, il y a de cela huit soirs,

Je lui ai écrit avec légèreté.

J’avais peur et j’étais pressé,

Aussi me suis-je égaré.

.

Quand reverrai-je la lueur du jour ?

Si je ne fais plus mes nuits.

Quand reverrai-je mon amour ?

Si désormais elle me fuit.

Que n’ai-je voulu ne rester qu’un ami ?

Serai-je auprès d’elle aujourd’hui ?

.

Comment meubler la carence ?

Et ne point dépérir,

Retrouver ma vaillance,

Et le droit de sourire.

.

Je n’ai plus nul moulin à conquérir,

Depuis que la fée électricité,

Les a tous remplacés.

Mon idéal doit dépérir,

Faute d’avoir sur me faire aimer,

De ma gente Dulcinée.

Update:

Merci à Céleste et Flocon, qui m'ont donné à réfléchir, chacun à leur façon.

Please enter comments
Please enter your name.
Please enter the correct email address.
You must agree before submitting.

Answers & Comments


Helpful Social

Copyright © 2024 1QUIZZ.COM - All rights reserved.