Ça aide mais ce n'est pas absolu non-plus! Avoir de la compassion, c'est ce qu'il faut pour pouvoir comprendre la souffrance. Si, au lieu de juger les autres, on s'informait sur ce qui les a rendu comme ils sont, peut-être serions-nous moins porté à les rejeter... Bien sur leur passé n'excuse pas tout. Rien de mieux qu'un ex-drogué, alcoolique, itinérant pour en comprendre un autre, c'est vrai mais selon moi, ça n'exclu pas la compréhension de ceux qui n'ont pas vécu le même problême. Des livres, des documentaires, des films peuvent aussi t'informer du pourquoi des choses. Tous des paresseux les punk, drogués, itinérants et alcolos? Quand on veut s'en sortir, on peut! Voilà ce qu'on pourrait se dire... Quelqu'un qui aurait eu une enfance très difficile pourrait être aujourd'hui directeur de compagnie et penser cela n'est-ce pas??? OUI MAIS! Tous n'ont malheureusement pas cette volonté, cette force et surtout, tous ne rencontrent pas toujours les bonnes personnes au bon moment pour les faire évoluer... Voìlà mon point de vue.
Beaucoup de prisonnier sont très talentueux... Un article a paru récemment sur le sujet d'ailleurs: l'art au rendez-vous dans les prisons où on parlait notamment de peinture. Un des prisonnier disait justement que peut-être si on l'avait encouragé à développer ses talents plus jeunes, il aurait peut-être eu une meilleure estime de lui et aurait peut-être prit un autre chemin que celui de la criminalité...
Oui , on ne peut connaître l'intensité des souffrances de quelqu'un, que si on n'a pas vécu pareilles situations (perte d'un etre cher , maladie , rupture ...) dans le cas contraire on éprouve de la compassion.
En a ou en avait. Je suis absolument d'accord avec toi, on a beau compatir à la souffrance des autres mais rien n'est comparable à la souffrance que l'on a déjà eu et qu'on vois chez la personne devant nous en est compatissant mais 1000 fois plus.
Il est sûr que souffrir ou avoir souffert peut aider à comprendre la souffrance, encore faut-il l'assumer, la valoriser et non en gémir. Ce qu'il faut avant tout, à mon sens, c'est avoir du coeur pour faire attention aux autres et s'oublier un peu !
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Autrement dit dans ta langue maternelle
Ne ressent la douleur de la souffrance que celui qui se brûle,
Ça aide mais ce n'est pas absolu non-plus! Avoir de la compassion, c'est ce qu'il faut pour pouvoir comprendre la souffrance. Si, au lieu de juger les autres, on s'informait sur ce qui les a rendu comme ils sont, peut-être serions-nous moins porté à les rejeter... Bien sur leur passé n'excuse pas tout. Rien de mieux qu'un ex-drogué, alcoolique, itinérant pour en comprendre un autre, c'est vrai mais selon moi, ça n'exclu pas la compréhension de ceux qui n'ont pas vécu le même problême. Des livres, des documentaires, des films peuvent aussi t'informer du pourquoi des choses. Tous des paresseux les punk, drogués, itinérants et alcolos? Quand on veut s'en sortir, on peut! Voilà ce qu'on pourrait se dire... Quelqu'un qui aurait eu une enfance très difficile pourrait être aujourd'hui directeur de compagnie et penser cela n'est-ce pas??? OUI MAIS! Tous n'ont malheureusement pas cette volonté, cette force et surtout, tous ne rencontrent pas toujours les bonnes personnes au bon moment pour les faire évoluer... Voìlà mon point de vue.
Beaucoup de prisonnier sont très talentueux... Un article a paru récemment sur le sujet d'ailleurs: l'art au rendez-vous dans les prisons où on parlait notamment de peinture. Un des prisonnier disait justement que peut-être si on l'avait encouragé à développer ses talents plus jeunes, il aurait peut-être eu une meilleure estime de lui et aurait peut-être prit un autre chemin que celui de la criminalité...
On peut toujours comprendre la souffrance d'autrui,mais si on a vécu la même souffrance ,on peut réellement et intimement la mesurer.
?
Oui , on ne peut connaître l'intensité des souffrances de quelqu'un, que si on n'a pas vécu pareilles situations (perte d'un etre cher , maladie , rupture ...) dans le cas contraire on éprouve de la compassion.
Bonne soirée.
Ma belle mère dit toujours il sens le feu sauf celui qui le touche le touche
ou celui qui en a eu . . . on n'est pas obligé de l'avoir au présent . . .
En a ou en avait. Je suis absolument d'accord avec toi, on a beau compatir à la souffrance des autres mais rien n'est comparable à la souffrance que l'on a déjà eu et qu'on vois chez la personne devant nous en est compatissant mais 1000 fois plus.
Il est sûr que souffrir ou avoir souffert peut aider à comprendre la souffrance, encore faut-il l'assumer, la valoriser et non en gémir. Ce qu'il faut avant tout, à mon sens, c'est avoir du coeur pour faire attention aux autres et s'oublier un peu !